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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 02:25

Montréal - Manifestation demain, dimanche le 10 août 2014, pour denouncer les crimes perpétrés par Israël et appuyer le peuple palestinien - Manif organisée par Tadamon et appuyée par de nombreuses organisations.

Montreal - Demonstration tomorrow, Sunday August 10, 2014, to denounce the crimes perpetrated by Israel and to support the Palestinian people, organized by Tadamon and supported by numerous organizations.

http://www.tadamon.ca/post/11317/comment-page-1#comment-1476926

August 10, 2014

midi @ Place Émilie-Gamelin

facebook event

Montréal, Québec

Invoking outrageously its “right to defend itself”, Israel is once again laying waste to Gaza …

With an illegal and immoral blockade already condemning the population of Gaza to slow death, with entire neighbourhoods now bombed into ruins, with mosques, schools and other shelters targeted for direct attacks, the casualties number in the thousands …

As the carnage continues, the Harper government continues its unconditional support for Israeli aggression and blames all the horror and destruction on the Palestinians themselves.

Meanwhile, there is a shameful failure on the part of the vast majority of the political class to meet their minimum responsibility of demanding that Israel abide by international law…

Faced with all these crimes committed in broad daylight with the unspeakable overt or tacit support of Canadian politicians, we call on the people of Québec to make their voices heard loud

• AN IMMEDIATE END TO ALL FORMS OF ISRAELI AGGRESSION

• AN END TO THE BLOCKAGE OF GAZA

• AN END TO ISRAELI OCCUPATION AND COLONIZATION OF PALESTINIAN TERRITORIES

• A REAL SOLUTION TO THE CONFLICT, BASED ON JUSTICE AND RESPECT FOR INTERNATIONAL LAW

• A RADICAL CHANGE IN THE SHAMEFUL POLICIES OF THE GOVERNMENT AND CANADIAN POLITICIANS IN GENERAL

Call issued by a broad coalition of labour, grassroots, community, advocacy, women’s, and student

organizations, solidarity groups, groups of artists, intellectuals, etc. and citizens:

99%Média

Aide médicale pour la Palestine (AMP)

Alternatives

Antennes de Paix

Arche de Gaza

Association des Égyptiens de Montréal (AEM)

Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ)

Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI)

Bloc Québécois

Canadiens pour la justice et la paix au Moyen-Orient (CJPMO)

Centrale des syndicats du Québec (CSQ)

Centre communautaire des femmes Sud-Asiatiques (CCFSA)

Centre d’études et de recherche sur l’Asie du Sud (CERAS)

Centre des travailleurs et travailleuses immigrants (CTTI)

Centre justice et foi (CJF)

Coalition pour la justice et la paix en Palestine (CJPP)

Collectif de Québec pour la paix / Solidarité Québec Palestine

Collectif Échec à la guerre

Collectif québécois contre l’islamophobie

Collective des féministes musulmanes du Québec

Comité 8 mars des femmes de diverses origines

Comité de solidarité/Trois-Rivières

Confédération des syndicats nationaux (CSN)

Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN)

Conseil de la souveraineté du Québec

Conseil musulman de Montréal

Conseil régional de la FTQ-Montréal métropolitain

Fédération de la CSN-Construction

Entraide missionnaire

Fédération des Canadiens musulmans

Fédération des femmes du Québec (FFQ)

Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ)

Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ-CSN)

Forum musulman canadien

Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU)

Institut des Mondes Arabe et Musulman de l’Estrie (IMAME)

Ligue de la jeunesse communiste du Québec

Ligue des droits et libertés

Office de la pastorale sociale (Archevêché de Montréal)

Option nationale

Palestiniens et Juifs unis (PAJU)

Parti communiste du Québec (PCQ)

Parti communiste du Québec (section du PCC)

Parti marxiste-léniniste du Québec (PMLQ)

Pastorale Sociale de Côte-des-Neiges

Québec solidaire

Regroupement des Algériens du Canada

Sœurs Auxiliatrices

Solidarité Laurentides Amérique centrale (SLAM)

Solidarité sans frontières

Syndicat des professeurs et professeures de l’UQAM (SPUQ)

Syndicat des travailleurs et travailleuses des Postes

Syndicat des travailleurs et travailleuses des Postes – région du Québec

Table de concertation de solidarité Québec-Cuba

Tadamon! Montréal

Voix juives indépendantes (VJI)

Other endorsements are expected shortly. If you belong to an organization, we invite you to present them

with this callout and obtain their official endorsement … to be sent to urgencegaza2014(at)gmail.com

photo by Thien V.

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 13:23

Le capitalisme à son stade suprême n'a plus qu'un choix : le fascisme et la guerre

Le prolétariat et les peuples du monde n'ont plus qu'un choix : renverser le capitalisme

La question du front uni contre le fascisme et la guerre

Antonio Artuso - Reconstruction communiste Canada - 09-08-2014

[BROUILLON]

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Introduction :

Le but de Reconstruction communiste Canada est de préparer l'unité idéologique (théorique), politique (programmatique) et organisationnelle :

- au sein du mouvement communiste du Canada et de chaque pays, ainsi qu'au sein du Mouvement communiste international permettant la reconstruction d'un et d'un seul Parti communiste dans chaque pays et d'un et d'un seul Mouvement communiste internatioanl.

- au sein de tous les mouvements qui s'opposent au capitalisme, au fascisme et à la guerre mondiale qui risque d'éclater suite aux préparatifs de guerre du bloc impérialiste États-Unis / Unon européenne et l'OTAN pour créer un Front uni contre le fascisme et la guerre.

Dans ce texte, je présente les raisons pour lesquelles je crois :

- que le capitalisme à son stade suprême n'a plus qu'un choix : le fascisme et la guerre;

- que le prolétariat et les peuples du monde n'ont plus qu'un choix : renverser le capitalisme;

- que le Front uni contre le fascisme et la guerre a, comme toute chose, des aspects positifs et des aspects négatifs, que les communistes doivent être prêts à combattre : la croyance que l'on peut s'unir à la bourgeoisie pour combattre le fascisme alors que le fascisme est l'une des deux politiques de la bourgeoisie :

- la démocratie bourgeoise, c'est-à-dire le régime de la dictature de la bourgeoisie accompagnée de certains droits constitutionnels et de certaines libertés civiques, qui ne touchent jamais les droits des propriétaires des moyens de production, droits et libertés très limités et souvent annulés en cas de crise);

- le facisme, c'est-à-dire le régime de la dictature de la bourgeoisie sans aucun droit constitutionnel et sans libertés civiques - le droit absolu des propriétaires des moyens de production sur les travailleurs, sur les nations de pays multinationaux et sur les peuples.

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Les mythes sur le capitalisme :

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Certaines personnes pensent :

- que le capitalisme assure fondamentalement le bien-être aux milliards d'être humains, la démocratie pour des millions d'êtres humains, la paix, le développement viable,

- que le capitalisme est donc, fondamentalement positif, malgré quelques aspects négatifs inévitables;

- que les quelques aspects négatifs actuels du capitalisme sont secondaires et temporaires parce qu'il sont inévitable à cette étape de l'histoire, mais qu'au cours de l'histoire prochaine, ces aspects négatifs disparaîtront;

- que les caractéristiques positives du capitalisme sont, à toutes les périodes de l'histoire, supérieures à ses caractéristiques négatives;

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La succession de modes de production à travers l'histoire - Les contradictions qui font naître et tomber chaque mode de production jusqu'à la société sans classe :

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L'humanité a toujours avancé au cours des siècles, de mode de production en mode de production, toujours supérieur l'un à l'autre jusqu'à ce que les contradictions mettent fin au mode de production en place.

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Communisme primitif (les premières sociétés humaines pratiquaient la cueillette, la chasse et la pêche - mode de production très primitif) : Les premiers groupes humains on un mode de vie collectiviste : ils partagent tous les produits pour assurer la survie du plus grand nombre de personnes. Il n'y a pas de surplus d'aliments, d'accumulation. Répartition immédiate. Partage comme dans une famille.

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Mode de production basé sur l'esclavage antique (Empires mésopotamiens, égyptien, grec, perse, romain) :

Avec l'invention de l'agriculture et de l'élevage, il y aura un surplus de nourriture. Les dirigeants commenceront a accaparer les surplus et à les distribuer prioritairement aux membres les plus proches. Deux classes apparaitront : les propriétaire des moyens de production et les travailleurs. La production réalisée collectivement deviendra privée. La classe dirigeante, devront s'entourer de sodats pour se protéger, pour chasser des personnes d'autres tribus et les transformer en esclaves. Le premier État apparaîtra (soldats et fonctionnaires) au service de la classe dominante.

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Mode de production féodal :

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Mode de production capitaliste :

Révolutions bourgeoise (Hollande, Angleterre et France)

Le capitalisme a connu 2 stades :

(1) le stade du capitalisme concurrentiel, avant la décénnie 1890, alors que les entreprises pouvaient concurrencer entre elles;

(2) le stade du capitalisme monopoliste ou impérialisme, stade suprême du capitalisme,

l'impérialisme, stades

Accumulation primitive du capital et plus value :

(1) accumulation primitive du capital (péché originel) :

(2) plus value :

Trois des caractéristiques du stade concurrentiel :

- exploitation des travailleurs,

- oppression économique, politique et sociale des peuples par l'État capitaliste,

- pillage des ressources naturelles par les entreprises (colonialisme et impérialisme)

Trois des caractéristiques du state monopoliste (impérialistme) :

- la crise - le cycle boom suivi d'une nouvelle crise.

Aujourd'hui les crises économiques sont liés à d'autres crises : écologiques, alimentaires, humanitaires, etc

- le fascisme

- la guerre

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Mode de production socialiste :

Peu après la révolution bourgeoise française, des penseurs politiques révolutionnaires se rendent compte que le peuple de Paris, qui a fait la révolution sous la direction de leaders bourgeois (Robespierre, Danton, etc.), s'est vu confisquer la révolution car une nouvelle classe a pris le pouvoir : la bourgeoisie, et accapare toute la production. Les premiers révolutionnaires à se révolter (Hébert et les "Enragés", Roux, Varlet, Chaumette), lanceront des appels à l'insurrection. Robespierre fera guillotiner ces premiers révolutionnaires qui produisent les premièrs analyses proches de l'analyse scientifique de Marx et d'Engels.

Les révolutionnaires français organiseront révolution sur révolution : 1789, 1830, 1848, 1856 et finalement la Commune de Paris (1871), première révolution socialiste au monde, première dictature du prolétariat, qui ne durera que 3 mois, avant d'être écrasée dans le sang par les troupes de la bourgeoisie réfugiées à Versailles.

Les théories de Marx et d'Engels sur les 2 étapes survenant au capitalisme : (1) le socialisme (dictature du prolétariat) et (2) le communisme (société sans classe et donc sans État) :

Marx et Engels élaboreront leurs théories scientifiques à partir de l'étude de la réalité et des théories (1) des révolutionnaires français, (2) des économistes anglais et (3) des philosophes allemands (Hegel, Fueurbach). Marx et Engels prévoyaient le renversement du capitalisme : (1) par la voie révolutionnaire; (2) la dictature du prolétariat; et (3) la confiscation des moyens de production et l'édification de l'économie socialiste.

Marx et Engels prévoyaient aussi, avec la disparition des différences entre les anciennes classes dominantes et le prolétariat et le dépérissement de l'État (l'État, machine de répression de la classe dominante sur la classe dominée pour la maintenir sous sa domination, cesse d'être nécessaire et disparait.). La société communiste, sans classes sociales, sans État, sans frontières pourra alors se développer.

L'application par Lénine et Staline des théories de Marx et d'Engels qui ont permis la création de l'Union soviétique et le développement du socialisme :

En Russie, Lénine, à partir de 1890, appliquera les analyses de Marx et d'Engels et transformera le Parti ouvrier social-démocrate de Russie en un véritable parti marxiste, le Parti bolchévik, capable par ses théories, ses politiques et son organisation, de renverser le capitalisme et d'instaurer la dictature du prolétariat : en 1917, naîtra de l'état violent d'exploitation, d'oppression et de guerre mondiale, l'Union soviétique.

De la Révolution d'Octobre (1917) à la mort de Staline (1953), l'Union soviétique jouera un rôle de premier plan dans le monde et sera un modèle pour l'humanité en raison de ses politiques économiques, politiques et sociales, pour la démocratie, la paix et le développement. À la mort de Staline (1953), l'URSS est la seconde puissance au monde sur tous les plans, économie, influence politique, conditions sociales, vacances et bien-être du peuple, technologie, sciences.

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Les causes de la chute de l'URSS et de l'affaiblissment des Partis communistes et du Mouvement communiste international :

(1) les causes externes - les ennemis impérialistes (Guerre froide); et

(2) les causes internes - le révisionnisme (CAUSE PRINCIPALE) :

Les puissances impérialistes victorieuses de la 2ème Guerre mondiale rompent leur alliance et commencent la Guerre "froide" contre le socialisme.

En raison de la trahison des révisionnistes modernes - Earl Browder et Tim Buck en 1943 - Tito en 1948 - Khrouchtchev en 1953 (assassinat de Staline, "épuration" des communistes au sein du Parti et de l'État, 20ème Congrès de 1956, destruction des organismes de planification socialiste, restauration graduel du capitalisme) - erreurs de Mao (maintien de la bourgeoisie nationale chinoise et alliance avec l'impérialisme états-unien) - "eurocommunisme" en Italie, en Espagne et en France - la plupart des Partis communistes et le Mouvement communiste international ont adopté des théories contraires aux théories marxistes-léninistes et ont trahi le prolétariat et les peuples.

Le révisionnisme est la cause principale de la chute de l'URSS - Le rôle actuel des communistes authentiques - la reconstruction communiste par la lutte contre le révisionnisme et les opportunismes de droite et de "gauche" (trotskisme, etc.) :

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La question du front uni contre le fascisme et la guerre :

Enver Hoxha dans

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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 00:35

Vous trouverez ci-dessous la déclaration du Parti des communistes des États-Unis, qui manifeste sa solidarité avec la déclaration du Nouveau Parti communiste de Yougoslavie sur le Parti communiste ukrainien. Reconstruction communiste Canada (RCC) a traduit cette déclaration en français, en espagnol et en portugais. RCC appuie le nouveau Parti des communistes des États-Unis, qui vient d’être créé et qui reprend la tradition des partis communistes authentiques, du Mouvement communiste international et des grands dirigeants du prolétariat, Marx et Engels et Lénine et Staline. Sa création survient au moment où le soi-disant "Parti communiste des États-Unis", révisionniste depuis 1943, se dirige vers sa dissolution finale, avec les autres partis révisionnistes.

Antonio Artuso - Reconstruction communiste Canada - 08-08-2014

Blog : antonio.artuso.over-blog.com – Courriel : pueblo@sympatico.ca

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ENGLISH - The Party of Communists USA Stands in Solidarity with the New Communist Party of Yugoslavia (NKPJ) Statement on Ukrainian Communist Party (UCP)

ESPAÑOL - El Partido de los Comunistas de Estados Unidos se solidariza con la declaración del Nuevo Partido de Yugoslavia sobre el Partido Comunista Ukraniano

FRANÇAIS - Le Parti des communistes des États-Unis appuie la déclaration du Nouveau Parti communiste de Yougoslavie sur le Parti communiste ukrainien

PORTUGUÊS - O Partido dos Comunistas dos Estados Unidos se solidariza com a declaração do Novo Partido Comunista de Iugoslávia sobre o Partido Comunista Ucraniano

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ENGLISH - The Party of Communists USA Stands in Solidarity with the New Communist Party of Yugoslavia (NKPJ) Statement on Ukrainian Communist Party (UCP)

Comrades of the Central Committee of the New Communist Party of Yugoslavia:

We salute you and stand in solidarity with your statement concerning the outlawing of the Communist Party of Ukraine. We are in complete agreement that the actions of the fascists in Kiev are completely illegal, and reminiscent of fascist Germany in the 1930's. We have written a statement similar to your own, calling for international assistance to help the people of Ukraine in this time of great crisis. We remember very well when our own President of the United States, Bill Clinton, ordered wholesale bombing of Yugoslavia to destroy the infrastructure of your beautiful country, targeting civilians and non-military targets and stirring up religious hatred. This is the only card that imperialism has to play, and they are attempting to repeat the tragedy of Yugoslavia in Ukraine. But as you have intimated in your statement, the people are resilient and democracy cannot be bombed away by capitalist demagogues. All the forces of the EU, the US, and NATO cannot defeat a determined Ukrainian people fighting for their freedom. We agree. Fascism will not pass!

Central Committee of the Party of Communists USA

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ESPAÑOL - El Partido de los Comunistas de Estados Unidos se solidariza con la declaración del Nuevo Partido de Yugoslavia sobre el Partido Comunista Ukraniano

Camaradas del Comité Central del Nuevo Partido Comunista de Yugoslavia:

Le saludamos y nos solidarizamos con su declaración relativa a la ilegalización del Partido Comunista de Ucrania. Estamos completamente de acuerdo sobre el hecho que las acciones de los fascistas en Kiev son completamente ilegales, y que recuerdan a la Alemania fascista en la década de 1930. Hemos escrito una declaración similar a la suya, pidiendo la asistencia internacional para ayudar al pueblo de Ucrania en este momento de gran crisis. Recordamos muy bien cuando nuestro propio Presidente de los Estados Unidos, Bill Clinton, ordenó el bombardeo sistemático de Yugoslavia para destruir la infraestructura de ese hermoso país, atacando a civiles y objetivos no militares y fomentando el odio religioso. Esta es la única carta que el imperialismo tiene para jugar, y está tratando de repetir la tragedia de Yugoslavia en Ucrania. Pero como usted ha dado a entender en su declaración, el pueblo es resistente y la democracia no pueden ser destruida con bombardeos demagogos capitalistas. Todas las fuerzas de la Unión Europea, de los Estados Unidos y de la Organización del Tratado del Atlantico Norte (OTAN) no pueden derrotar al pueblo ucraniano, que está determinado a luchar por su libertad. Estamos de acuerdo. El fascismo no pasará!

Comité Central del Partido de los Comunistas de Estados Unidos

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FRANÇAIS - Le Parti des communistes des États-Unis appuie la déclaration du Nouveau Parti communiste de Yougoslavie sur le Parti communiste ukrainien

Camarades du Comité central du Nouveau parti communiste de Yougoslavie :

Nous vous saluons et appuyons votre déclaration au sujet de la mise en illégalité du Parti communiste ukrainien. Nous sommes entièrement d'accord sur le fait que les actions des fascistes de Kiev sont totalement illégales, et qu’elles rappellent l'Allemagne nazie dans les années 1930. Nous avons écrit une déclaration similaire à la vôtre pour lancer un appel à la solidarité internationale pour venir en aide au peuple de l’Ukraine en cette période de grande crise. Nous nous souvenons très bien que notre propre président, Bill Clinton, a donné l’ordre de bombarder systématiquement la Yougoslavie, détruisant l'infrastructure de ce beau pays, prenant pour cibles des civils et des objectifs non-militaires et promouvant la haine religieuse. L'impérialisme ne dispose plus que de cette carte pour jouer, et il essaie de répéter la tragédie de la Yougoslavie cette fois en Ukraine. Mais comme vous l’avez souligné dans votre déclaration, le peuple est résilient, et la démocratie ne peut être détruite par les bombardements des démagogues capitalistes. Toutes les forces de l'Union européenne, des États-Unis et de l'OTAN / NATO) ne pourront vaincre le peuple ukrainien, qui est déterminé à se battre pour sa liberté. Nous sommes d'accord avec votre déclaration : le fascisme ne passera pas!

Comité central du Parti des communistes des États-Unis

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PORTUGUÊS - O Partido dos Comunistas dos Estados Unidos se solidariza com a declaração do Novo Partido Comunista de Iugoslávia sobre o Partido Comunista Ucraniano

Camaradas do Comitê Central da NKPJ:

Saudamos e apoiamos a sua declaração sobre a interdição do Partido Comunista da Ucrânia. Concordamos plenamente sobre o fato que as ações dos fascistas de Kiev são completamente ilegais, e que elas lembram a Alemanha nazista na década de 1930. Escrevemos uma declaração semelhante à sua para lançar um chamado à solidariedade Internacional a fim de ajudar o povo da Ucrânia neste momento de grande crise. Nós nos lembramos muito bem que nosso presidente, Bill Clinton, deu a ordem de bombardear a Jugoslávia, destruindo sistematicamente a infraestrutura desse belo país, tomando como alvos civis e objetivos não-militares e promovendo o ódio. O imperialismo tem apenas esta carta para jogar, e ele tenta repetir a tragédia da Jugoslávia, desta vez na Ucrânia. Mas, como sugere sua declaração, as pessoas são resistentes, e a democracia não poderá ser destruída pelos bombardeios dos demagogos capitalistas. Todas as forças da União Europeia, dos Estados Unidos e da Organização do Tratado do Atlântico Norte (OTAN / NATO) não poderão derrotar o povo ucraniano, que está determinado em lutar por sua liberdade. Estamos de acordo com a sua declaração: o fascismo não passará!

Comitê Central do Partido dos Comunistas dos Estados Unidos

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 01:42

http://mjp.univ-perp.fr/constit/ru1918.htm

Digithèque, Jean-Pierre Maury

Russie

Constitution de la République socialiste fédérative soviétique de Russie.

(10 juillet 1918)

Titre premier. Déclaration des droits du peuple travailleur et exploité.

Titre II. Dispositions générales de la Constitution de la République socialiste fédérative soviétique de Russie.

Titre III. Structure du pouvoir soviétique.

Titre IV. Du droit d'élire et d'être élu.

Titre V. Le droit budgétaire.

Titre VI. Les armes et le drapeau de la RSFSR.

Après la dispersion de l'Assemblée constituante dès le 6/19 janvier 1918, tout le pouvoir en Russie appartient aux soviets. Le Congrès panrusse des soviets proclame la République socialiste fédérative soviétique de Russie et adopte, le 12/25 janvier, la Déclaration des droits du peuple travailleur et exploité, proposée par Lénine, qui sera placée en tête de la Constitution du 10 juillet 1918.

A la suite de la formation de l'Union des Républiques socialistes soviétiques, la RSFSR reçoit une nouvelle Constitution le 11 mai 1925.

Source : Traduction publiée par les autorités soviétiques.

Voir la version initiale de la Déclaration des droits du peuple travailleur et exploité.

La déclaration des droits du peuple travailleur et exploité promulguée par le IIIe congrès panrusse des soviets en janvier 1918 constitue, avec la Constitution e la République socialiste fédérative soviétique de Russie, la loi fondamentale de la République socialiste fédérative soviétique de Russie.

Cette loi fondamentale entre en vigueur dès le moment de sa publication dans sa forme définitive aux Izvestia du Comité central exécutif central panrusse. Elle doit être republiée par tous les organes locaux du pouvoir soviétique et exposée dans toutes les institutions soviétiques en un endroit bien visible.

Le Ve congrès charge le Commissariat du peuple à l'instruction d'introduire dans toutes les écoles et établissements d'enseignement un enseignement portant sur les dispositions fondamentales de la présente Constitution, leur éclaircissement et leur explication.

Titre premier.

Déclaration des droits du peuple travailleur et exploité.

Chapitre I.

1. La Russie est proclamée République des Soviets des députés ouvriers, soldats et paysans. Tout le pouvoir, central et local, appartient à ces Soviets.

2. La République soviétique de Russie est fondée sur la libre union de nations libres, en tant que fédération de Républiques soviétiques nationales.

Chapitre II.

3. Dans le but fondamental de supprimer toute exploitation de l'homme par l'homme, d'abolir à jamais la division de la société en classes, de réprimer sans pitié les exploiteurs et d'instituer l'organisation socialiste de la société, ainsi que d'assurer la victoire du socialisme dans tous les pays, le IIIe Congrès panrusse des soviets décrète en outre ce qui suit :

a. En vue de réaliser la socialisation du sol, la propriété privée de celui-ci est abolie et toutes les terres sont déclarées propriété nationale et remises aux travailleurs, sans compensation, sur la base d'une jouissance égale du sol.

b. Toutes les forêts, les richesses du sous-sol et les eaux d'importance nationale, tout le cheptel et les dépendances, ainsi que toutes les fermes modèles et les exploitations modernes sont déclarés propriété publique.

c) Comme premier pas vers le transfert total des fabriques, usines, mines, chemins de fer et autres moyens de production ou de transport entre les mains de la République socialiste ouvrière et paysanne, la loi soviétique sur le contrôle ouvrier et sur le Conseil supérieur de l'économie nationale est ratifiée, en vue d'assurer le pouvoir des travailleurs sur leurs exploiteurs.

d. Le IIIe congrès panrusse des soviets considère la loi répudiant les dettes contractées par le gouvernement du tsar, des féodaux et de la bourgeoisie comme un coup porté au capital bancaire financier international, et proclame la certitude que le pouvoir soviétique marchera résolument dans cette voie jusqu'à complète victoire de la révolte du prolétariat international contre le joug du capital.

e. Confirme le transfert de toutes les banques entre les mains de l'État des ouvriers et des paysans, comme une des conditions de l'émancipation des travailleurs du joug capitaliste.

f. En vue d'exterminer les éléments parasites de la société et d'organiser l'économie nationale, le service du travail obligatoire est instauré pour tous.

g. En vue d'assurer aux masses travailleuses la totalité du pouvoir et d'écarter toute possibilité de restauration du pouvoir des exploiteurs, est décrété l'armement des travailleurs, la formation d'une Armée Rouge socialiste des ouvriers et des paysans, ainsi que le désarmement complet des classes possédantes.

Chapitre III.

4. Exprimant son inébranlable détermination d'arracher l'humanité aux griffes du capital financier et de l'impérialisme, qui pendant cette guerre, la plus criminelle de toutes, viennent d'inonder la terre de sang, le IIIe congrès panrusse des soviets s'associe de tout coeur à la politique actuelle du pouvoir soviétique, tendant à répudier les traités secrets, à organiser le plus largement possible la fraternisation des ouvriers et paysans au sein des armées belligérantes et à obtenir à tout prix par des mesures révolutionnaires une paix démocratique pour les travailleurs sans annexion ni contribution, sur la base du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.

5. Dans le même dessein, le IIIe congrès panrusse des soviets insiste sur la nécessité d'une rupture complète avec la politique barbare de la civilisation bourgeoise, qui a construit le bien-être des exploiteurs dans un petit nombre de nations élues sur l'esclavage de centaines de millions de travailleurs, en Asie, dans les colonies en général et dans les petits pays.

6. Le IIIe congrès panrusse des soviets approuve vivement la politique du Conseil des commissaires du peuple, qui a proclamé l'indépendance totale de la Finlande, entrepris le retrait des troupes russes stationnées en Perse et accordé à l'Arménie le droit à l'autodétermination.

Chapitre IV.

7. Le IIIe congrès panrusse des soviets des députés ouvriers, paysans et soldats considère que maintenant, au moment de la lutte décisive du prolétariat contre ses exploiteurs, il ne doit y avoir aucune place pour ces derniers dans aucun des organes du pouvoir. Le pouvoir doit appartenir, en totalité et à titre exclusif, aux masses laborieuses et à leur représentation authentique : les Soviets des députés ouvriers, soldats et paysans.

8. En même temps, s'efforçant de créer l'union réellement libre, volontaire, complète et donc durable et solide, entre les classes travailleuses de toutes les nations de Russie, le IIIe congrès panrusse des soviets se borne à formuler les principes fondamentaux de la fédération des Républiques soviétiques de Russie, reconnaissant aux ouvriers et paysans de chaque nation le droit de décider librement, dans leur propre congrès des soviets, s'ils désirent, et sur quelle base, participer au gouvernement fédéral ainsi qu'aux autres institutions fédérales soviétiques.

Titre II.

Dispositions générales de la Constitution de la République socialiste fédérative soviétique de Russie.

Chapitre V.

9. Durant l'actuelle phase de transition, la tâche fondamentale de la Constitution de la RSFSR consiste à établir, sous la forme d'un fort pouvoir soviétique panrusse, la dictature du prolétariat des villes et des compagnes ainsi que de la paysannerie la plus pauvre, en vue d'écraser totalement la bourgeoisie, de supprimer totalement l'exploitation de l'homme par l'homme et d'établir le socialisme sous lequel il n'y aura ni division de classes, ni pouvoir d'État.

10. La République russe est une libre communauté socialiste de tous les travailleurs de Russie. Tout le pouvoir dans les limites de la RSFSR appartient à la totalité de la population ouvrière du pays, organisée dans les soviets des villes et des compagnes.

11. Les soviets des régions qui se distinguent par des usages particuliers et par leurs compositions nationales propres peuvent s'unir en unions régionales autonomes à la tête desquelles, comme à la tête de toutes les autres unions régionales qui pourraient se former, se trouvent des congrès régionaux des soviets et leurs organes exécutifs. Ces unions régionales autonomes entrent dans la RSFSR sur une base fédérale.

12. Le pouvoir suprême dans la RSFSR appartient au congrès panrusse des soviets et, dans l'intervalle des congrès, au Comité exécutif central panrusse des soviets.

13. En vue d'assurer aux travailleurs la vraie liberté de conscience, l'Église est séparée de l'État et l'école de l'Église, et la liberté de propagande religieuse et antireligieuse est reconnue à tous les citoyens.

14. En vue d'assurer aux travailleurs la vraie liberté d'exprimer leurs opinions, la RSFSR supprime la dépendance de la presse à l'égard du capital, remet entre les mains de la classe ouvrière et des paysans pauvres toutes les ressources techniques et matérielles nécessaires à la publication des journaux, livres et autres productions de presse, et garantit la libre diffusion de ceux-ci et de celles-ci dans tout le pays.

15. En vue d'assurer aux travailleurs la vraie liberté de réunion, la RSFSR reconnaissant aux citoyens de la République soviétique le droit d'organiser librement des réunions, des meetings, des cortèges, etc., met à la disposition de la classe ouvrière et des paysans pauvres tous les locaux convenables pour l'organisation des réunions populaires, avec mobilier, éclairage et chauffage.

16. En vue d'assurer aux travailleurs la vraie liberté d'association, la RSFSR, qui a brisé le pouvoir économique et politique des classes possédantes et a ainsi écarté tous les obstacles ayant, dans la société bourgeoise, empêché jusqu'à présent les ouvriers et les paysans de jouir de la liberté d'organisation et d'action, prête aux ouvriers et aux paysans les plus pauvres toute son assistance matérielle et autre afin qu'ils s'unissent de s'organisent.

17. En vue d'assurer aux travailleurs l'accès réel à la culture, la RSFSR se propose de donner l'instruction complète, universelle et gratuite aux ouvriers et aux paysans les plus pauvres.

18. La RSFSR déclare le travail obligatoire pour tous les citoyens de la République, et lance le slogan « Qui ne travaille pas, ne mange pas ! »

19. En vue de protéger par tous les moyens les conquêtes de la grande révolution ouvrière et paysanne, la RSFSR déclare obligatoire pour tous les citoyens de la République la défense de la patrie socialiste et institue le service militaire universel. Le droit honorifique de défendre la révolution les armes à la main n'appartient qu'aux travailleurs, les éléments non laborieux de la population sont soumis à d'autres obligations militaires.

20. En raison de la solidarité des travailleurs de toutes les nations, la RSFSR accorde tous les droits politiques des citoyens russes aux étrangers résidant sur le territoire de la République russe pour y travailler et appartenant à la classe ouvrière, ou aux paysans qui ne vivent pas du travail d'autrui, et reconnaît aux soviets locaux le droit d'accorder à ces étrangers le droit de citoyenneté russe sans autre formalité.

21. La RSFSR accorde le droit d'asile à tous les étrangers persécutés pour des délits politiques ou religieux.

22. La RSFSR, reconnaissant l'égalité de droit des citoyens, indépendamment de leur race et de leur nationalité, déclare incompatible avec les lois fondamentales de la République, la tolérance de privilèges et de préférences quelconques établis sur ces bases, ainsi que l'oppression quelconque des minorités nationales ou la limitation de leur égalité juridique.

23. S'agissant des intérêts de la classe ouvrière dans son ensemble, la RSFSR prive les individus et les groupes particuliers des droits dont ils useraient au préjudice des intérêts de la révolution socialiste.

Titre III.

Structure du pouvoir soviétique.

A. Organisation du pouvoir central.

Chapitre VI. Du congrès panrusse des soviets des députés ouvriers, soldats, paysans et cosaques.

24. Le congrès panrusse des soviets est le pouvoir suprême de la RSFSR.

25. Le congrès panrusse des soviets se compose des représentants des soviets des villes, à raison d'un député par 25.000 électeurs, et des représentants des congrès provinciaux des soviets à raison d'un député par 125.000 habitants.

Remarque 1. Si le congrès provincial des soviets ne précède pas le congrès panrusse, les délégués à ce dernier sont directement envoyés par les congrès de districts.

Remarque 2. Si le congrès régional des soviets précède immédiatement le congrès panrusse, les délégués à ce dernier peuvent être envoyés par le congrès régional.

26. Le congrès panrusse des soviets est convoqué par le Comité exécutif central panrusse deux fois par an.

27. Un congrès panrusse des soviets extraordinaire est convoqué par le Comité exécutif central panrusse, soit sur la propre initiative de celui-ci, soit à la demande des soviets locaux comptant au moins le tiers de la population totale de la République.

28. Le Congrès panrusse des soviets élit le Comité exécutif central panrusse des soviets, dont les membres ne doivent pas excéder 200.

29. Le Comité exécutif central panrusse des soviets est responsable devant le congrès panrusse des soviets.

30. Dans l'intervalle des congrès, le Comité exécutif central panrusse des soviets est le pouvoir suprême de la République.

Chapitre VII. Du Comité exécutif central panrusse des soviets.

31. Le Comité exécutif central panrusse des soviets est l'organe suprême de législation, d'administration et de contrôle de la RSFSR.

32. Le Comité exécutif central panrusse des soviets fixe les directives générales de l'activité du Gouvernement ouvrier et paysan et de tous les organes du pouvoir soviétique dans le pays ; il centralise et coordonne les travaux en matière de législation et d'administration et surveille l'application de la Constitution, des arrêtés du congrès panrusse des soviets et des organes centraux du pouvoir soviétique.

33. Le Comité exécutif central panrusse des soviets examine et ratifie les projets de décrets et autres propositions déposés par le Conseil des commissaires du peuple ou par les départements ministériels ; il prend également de sa propre autorité des décrets et arrêtés.

34. Le Comité exécutif central panrusse des soviets convoque le congrès panrusse des soviets, il lui rend compte de son activité, il lui fait des rapports sur la politique générale et sur les questions spéciales.

35. Le Comité exécutif central panrusse des soviets désigne le Conseil des commissaires du peuple pour l'administration générale de la RSFSR et les commissariats du peuple pour la direction des différentes branches de l'administration.

36. Les membres du Comité exécutif central panrusse des soviets travaillent dans les commissariats du peuple ou exécutent des missions particulières sur la demande de celui-ci.

Chapitre VIII. Du Conseil des commissaires du peuple.

37. Au Conseil des commissaires du peuple appartient l'administration générale de la RSFSR.

38. Dans l'administration de ces tâches, le Conseil des commissaires du peuple édicte des décrets, ordres et instructions, et, d'une manière générale, prend toutes les mesures nécessaires à la conduite régulière et efficace des affaires publiques.

39. Le Conseil des commissaires du peuple communique immédiatement au Comité exécutif central panrusse tous ses arrêtés et décisions.

40. Le Comité exécutif central panrusse peut annuler ou suspendre tous les arrêtés et décisions du Conseil des commissaires du peuple.

41. Tous les arrêtés et décisions du Conseil des commissaires du peuple qui présentent une grande importance de politique générale doivent être soumis à l'examen et à l'approbation du Comité exécutif central panrusse des soviets.

Remarque. Les mesures dont l'exécution ne souffre aucun délai peuvent être directement exécutées par le Conseil des commissaires du peuple.

42. Les membres du Conseil des commissaires du peuple dirigent les commissariats du peuple.

43. 18 commissariats du peuple sont institués, à savoir : Affaires étrangères, Guerre, Marine, Affaires intérieures, Justice, Travail, Affaires sociales, Instruction, Postes et télégraphes, Nationalités, Affaires financières, Communications, Agriculture, Commerce et industrie, Ravitaillement, Contrôle d'État, Conseil supérieur de l'économie nationale, Santé.

Remarque. Le nom de commissariat du peuple du contrôle d'État est changé en commissariat du peuple de l'Inspection ouvrière et paysanne. Le commissariat du peuple du commerce et de l'industrie est réorganisé en commissariat du peuple du Commerce extérieur.

44. Auprès de chaque commissariat du peuple, et sous sa présidence, est constitué un collège, dont les membres sont agréés par le Conseil des commissaires du peuple.

45. Le commissaire du peuple a le droit de prendre personnellement des décisions sur les questions ressortissant à la compétence du commissariat correspondant en les portant à la connaissance du collège. S'il n'approuve pas telle ou telle décision du commissaire du peuple, le collège, sans arrêter l'exécution de la décision, peut porter la question devant le Conseil des commissaires du peuple, ou devant le Présidium du Comité exécutif central panrusse des soviets. Ce droit de recours appartient également à chacun des membres du collège.

46. Le Conseil des commissaires du peuple est entièrement responsable devant le congrès panrusse des soviets et le Comité exécutif central panrusse des soviets.

47. Les commissaires du peuple et les collèges auprès des commissariats du peuple sont entièrement responsables devant le Conseil des commissaires du peuple et le Comité exécutif central panrusse des soviets.

48. Le titre de commissaire du peuple appartient exclusivement aux membres du Conseil des commissaires du peuple responsables des affaires générales de la RSFSR ; nul autre représentant du pouvoir soviétique, tant central que local, ne peut se l'approprier.

Chapitre IX. Des attributions du congrès panrusse des soviets et du comité exécutif central panrusse des soviets.

49. Il appartient au congrès panrusse des soviets et au Comité exécutif central panrusse des soviets de régler toutes les questions d'intérêt national, telles que :

a. établissement de la Constitution de la RSFSR, ainsi que révision et amendements ;

b. direction générale de toute la politique extérieure et intérieure de la RSFSR ;

c. établissement et révision des frontières ainsi que cession d'une partie du territoire de la RSFSR ou des droits qui lui appartiennent ;

d. établissement des frontières et des compétences des congrès régionaux des soviets qui font partie de la RSFSR, ainsi que règlement des conflits entre eux ;

e. admission ans la RSFSR de nouveaux membres de la République soviétique et reconnaissance, pour ces parties constitutives, du droit de quitter la Fédération de Russie ;

f. division administrative générale des territoires de la RSFSR et approbation des groupements de régions ;

g. établissement et révision du système des poids et mesures, ainsi que de la monnaie, sur le territoire de la RSFSR ;

h. relations avec les États étrangers, déclaration de guerre et conclusion de la paix ;

i. conclusion d'emprunts, de conventions commerciales et douanières ainsi que de conventions financières ;

j. établissement des bases et du plan d'ensemble de l'économie nationale et de ses différentes branches sur le territoire de la RSFSR ;

k. approbation du budget de la RSFSR ;

l. établissement des impôt et charges de la RSFSR ;

m. établissement des bases de l'organisation des forces armées de la RSFSR ;

n. législation d'intérêt national, organisation de la procédure judiciaire, de la législation civile, pénale, etc. ;

o. nomination et destitution tant des membres individuels du Conseil des commissaires du peuple que du Conseil des commissaires du peuple dans son ensemble, ainsi qu'approbation de la désignation du président du Conseil des commissaires du peuple ;

p. émission des arrêtés généraux concernant l'acquisition et la perte du droit de citoyenneté russe ainsi que les droits des étrangers sur le territoire de la République ;

q. droit d'amnistie générale et partielle.

50. En sus des questions énumérées ci-dessus, rentrent dans la compétence du congrès panrusse des soviets et du Comité exécutif central panrusse des soviets toutes les questions qu'ils jugent de leur compétence.

51. Le congrès panrusse des soviets a seul compétence pour :

a. l'établissement, l'amendement et la révision des bases fondamentales de la Constitution ;

b. la ratification des traités de paix.

52. Le règlement des questions mentionnées aux points c et h de l'article 49 n'appartient au Comité exécutif central panrusse des soviets qu'en cas d'impossibilité de réunir le congrès panrusse des soviets.

B. Organisation du pouvoir soviétique sur le plan local.

Chapitre X. Des congrès des soviets.

53. Les congrès des soviets sont composés de la manière suivante :

a. Congrès de région (Oblast). Ils comprennent les représentants des soviets urbains et des congrès de districts à raison de 1 député par 25.000 habitants et des représentants des villes à raison de 1 député pour 5000 électeurs, au maximum 500 députés pour toute la région ; ils peuvent aussi être formés des représentants des congrès de gouvernements, élus suivant la même échelle, si ce congrès se réunit immédiatement avant le congrès de région.

b. Congrès de province (Gubernia). Ils comprennent les représentants des soviets urbains et des congrès de canton à raison de 1 député pour 10.000 habitants et des représentants des villes à raison de 1 député pour 2000 électeurs, au maximum 300 députés pour toute la province. Si le congrès des soviets de district est convoqué immédiatement avant celui de la province, les élections sont faites suivant le même principe, non par le congrès de canton, mais par le congrès de district.

c. Congrès de district (Uezd). Ils comprennent les représentants des soviets de village à raison de 1 député pour 1000 habitants, avec un maximum de 300 députés pour le district.

d. Congrès de canton (Volost). Ils comprennent les représentants de tous les soviets de villages d'un canton, à raison de 1 député pour 10 membres du soviet.

Remarque 1. Dans les congrès de district sont représentés les soviets des villes dont la population ne dépasse pas 10.000 habitants. Les soviets de village des localités qui ont moins de 1000 habitants se réunissent pour élire leurs députés au congrès de district.

Remarque 2. Les soviets de village de moins de 10 membres envoient au représentant au congrès de canton.

54. Les congrès des soviets sont convoqués par les organes exécutifs du pouvoir des soviets (conseils exécutifs) sur leur propre initiative ou à la demande des soviets locaux, si ceux-ci groupent le tiers de la population du territoire ; en tout cas, ils doivent l'être deux fois l'an par région, une fois tous les trimestres par province et district, et une fois par mois par canton.

55. Le congrès des soviets (de région, de province, de district et de canton) élit son organe exécutif, dont le nombre des membres ne doit pas dépasser :

a. pour les régions et les provinces : 25 ;

b. pour les districts : 20 ;

c. pour les cantons : 10.

Le comité exécutif est entièrement responsable devant le congrès qui l'a élu.

56. Dans les limites de sa compétence, le congrès des soviets (de région, de province, de district et de canton) est l'organe supérieur du pouvoir dans le territoire dont il s'agit ; entre deux sessions des congrès, le même pouvoir appartient au comité exécutif.

Chapitre XI. Des soviets des députés.

57. Les soviets de députés se constituent comme suit :

a. dans les villes, à raison de 1 député par 1000 habitants, avec un minimum de 50 membres et un maximum e 1000 ;

b. dans les campagnes (villages, villages cosaques, villes de moins de 10.000 habitants, bourgades et hameaux), à raison de 1 député par 100 habitants, avec un minimum de trois et un maximum de 50 députés par localité.

Le mandat des députés est d'une durée de trois mois.

Remarque. Dans les localités de campagne où la chose est réalisable, mes questions d'administration générale seront tranchées directement par l'assemblée générale des électeurs du village intéressé.

58. Pour les travaux courants, le soviet élit un organe exécutif (comité exécutif) qui comprend 5 membres au plus dans les villages et un député par 50 membres dans les villes, avec un minimum de 3 et un maximum de 25 (à Pétrograd et à Moscou, le maximum est de 40). Le comité exécutif est entièrement responsable devant le soviet qui l'a élu.

59. Le soviet des députés est convoqué par le comité exécutif, sur l'initiative de ce dernier ou à la demande d'au moins la moitié des membres du soviet. Il se réunit au moins une fois par semaine dans les villes et deux fois par semaine dans les campagnes.

60. Le soviet, dans les limites de son ressort et, dans le cas prévu à l'article 57 (remarque), l'assemblée générale des électeurs, constituent l'autorité suprême du territoire local.

Chapitre XII. Des attributions des organes locaux du pouvoir des soviets.

61. Les organes de région, de province, de district et de canton du pouvoir soviétique, ainsi que les soviets des députés, ont les attributions suivantes :

a. application de tous les arrêtés pris dans les organes supérieurs correspondants du pouvoir soviétique ;

b. adoption de toutes les mesures propres à développer la vie culturelle et économique du territoire donné ;

c. solution de toutes les questions ayant un intérêt purement local (pour le territoire donné) ;

d. unification de toute l'activité des soviets dans les limites de leur territoire.

62. Les congrès des soviets et leurs comités exécutifs possèdent le droit de contrôle sur l'activité des soviets locaux (c'est-à-dire que les congrès régionaux ont le droit de contrôle sur tous les soviets de la région donnée, les congrès de province ont le droit de contrôle sur tous les soviets de la province donnée, excepté sur les soviets des villes qui ne rentrent pas dans la composition des congrès de district, etc. ). Les congrès de région et de province, ainsi que leurs comités exécutifs, ont en outre le droit d'abroger les décisions des soviets se trouvant dans leur rayon d'action, en notifiant le fait à l'autorité soviétique centrale dans les cas les plus graves.

63. Pour exécuter les tâches imposées aux organes du pouvoir des soviets, il est institué auprès des soviets (urbains et ruraux) et des comités exécutifs ( de région, de province, de district et de canton) des sections correspondantes, sous la direction chacune d'un chef de section.

Titre IV.

Du droit d'élire et d'être élu.

Chapitre XIII.

64. Le droit d'élire et d'être élu aux soviets appartient aux citoyens suivants des deux sexes de la RSFSR qui ont atteint l'âge de 18 ans au jour de l'élection, sans distinction de confession, de nationalité, de domicile :

a. les individus qui tirent leurs moyens d'existence du travail productif ou d'un travail socialement utile, ainsi que ceux qui effectuent un travail domestique et assurant aux premiers la possibilité d'accomplir un travail productif, tels que les ouvriers et employés de toutes catégories et tous genres dans l'industrie, le commerce, l'agriculture et ailleurs, les paysans et les cultivateurs Cosaques qui n'emploient pas de salariés dans le but d'en tirer un profit ;

b. les soldats de l'armée et de la marine soviétique ;

c. les citoyens entrant dans les catégories définies par les alinéas précédents du présent article et ayant perdu, dans une mesure plus ou moins grande, leur capacité de travail.

Remarque 1. Les soviets locaux peuvent, avec l'approbation du pouvoir central, abaisser l'âge électoral indiqué dans cet article.

Remarque 2. Parmi les personnes qui ne possèdent pas le droit de citoyenneté, seules peuvent jouir du droit d'élire et d'être élu celles indiquées à l'article 20.

65. N'élisent pas et ne peuvent être élues, alors même qu'elles entreraient dans l'une des catégories sus-mentionnées :

a. les personnes qui emploient des salariés dans le but d'en tirer profit ;

b. les personnes qui jouissent de revenus ne provenant pas de leur travail, tels que les intérêts du capital, les revenus des entreprises, les revenus des immeubles, etc.

c. les commerçants privés, les intermédiaires de commerce ;

d. les moines et ecclésiastiques et tous ceux qui servent l'Église et les cultes religieux ;

e. les fonctionnaires et agents de l'ancienne police, du corps spécial de la gendarmerie et des services de sécurité ainsi que les membres de la maison régnante du Russie ;

f. les aliénés et les interdits ;

g. les personnes condamnées à des peines afflictives et infamantes, pour une période fixée par la loi ou par le jugement du tribunal.

Chapitre XIV. La procédure électorale.

66. Les élections ont lieu conformément aux usages établis à la date fixée par les soviets locaux.

67. Les élections ont lieu en présence de la commission électorale et des représentants du soviet local.

68. Au cas où la participation du représentant du pouvoir soviétique s'avérerait techniquement impossible, il est remplacé par le président de la commission électorale et, en l'absence de celui-ci par le président du conseil électoral.

69. Il est dressé procès-verbal des résultats du scrutin, signé par les membres de la commission électorale et par le représentant du soviet.

70. Le règlement électoral ainsi que la participation aux élections des syndicats et autres organisations de travailleurs sont fixés par les soviets locaux, conformément aux instructions du Comité exécutif central panrusse.

Chapitre XV. La vérification et l'annulation des élections et la révocation des députés.

71. Toute documentation relative aux élections est déposée devant le soviet correspondant.

72. Le soviet désigne une commission des mandats pour la vérification des élections.

73. La commission des mandats fait rapport au soviet des résultats des élections.

74. Le soviet décide de la validation des candidats contestés.

75. En cas d'invalidation de tel ou tel candidat, le soviet ordonne de nouvelles élections.

76. En cas d'irrégularité générale des élections, leur annulation est examinée par l'organe du pouvoir soviétique supérieur dans l'ordre hiérarchique.

77. Le Comité exécutif central panrusse des soviets constitue l'instance dernière en matière d'annulation des élections soviétiques.

78. Les électeurs ont le droit de révoquer à tout moment le député qu'ils ont élu et de procéder à de nouvelles élections conformément au règlement général.

Titre V.

Le droit budgétaire.

Chapitre XVI.

79. La politique financière de la RSFSR, à l'étape présente de la dictature des travailleurs, a pour but essentiel l'expropriation de la bourgeoisie et la préparation des conditions de l'égalité générale des citoyens de la République dans le domaine de la production et de la répartition es biens. A ces fins, elle se fixe pour tâche d'assurer au pouvoir soviétique le droit de disposer de tous les moyens nécessaires à la satisfaction des besoins locaux et généraux de la République soviétique, sans s'arrêter devant le droit de propriété privée.

80. Les revenus et les dépenses de la RSFSR figurent dans le budget général d'État.

81. Le congrès panrusse des soviets ou le Comité exécutif central panrusse des soviets détermine les revenus qui entrent dans le cadre du budget national et ceux qui reviennent aux soviets locaux ; il fixe l'assiette des impôts.

82. Les soviets fixent l'assiette des impôts et des revenus qui doivent couvrir les besoins exclusifs de l'économie locale. Les besoins généraux de l'État sont satisfaits au moyen de ressources provenant du trésor public.

83. Aucune dépense sur les ressources du trésor public ne peut être engagée sans une affectation de crédits dans les comptes des dépenses et des ressources ou par une décision particulière du pouvoir central.

84. Pour faire face aux dépenses d'intérêt national, les crédits nécessaires sont transférés du trésor public aux soviets locaux par l'intermédiaire des commissariats du peuple correspondants.

85. Tous les crédits du trésor public mis à la disposition des soviets ainsi que les crédits destinés aux besoins locaux doivent être utilisés conformément aux prévisions budgétaires (paragraphes et articles) et ne peuvent être affectés à la satisfaction d'autres besoins sans une décision spéciale de Comité exécutif central panrusse des soviets et du Conseil des commissaires du peuple.

86. Les soviets locaux établissent des projets de budgets correspondant aux besoins locaux. Les budgets des soviets ruraux et de canton et des soviets de ville participant au congrès des soviets de district sont approuvés respectivement soit par les congrès des soviets de province ou de région, soit par leurs comités exécutifs ; les budgets des organes soviétiques du pouvoir de ville, de province et de région sont approuvés par le Comité exécutif central panrusse des soviets et par le Conseil des commissaires du peuple.

87. Pour couvrir les dépenses qui n'ont pas été prévues par le budget ou remédier à l'insuffisance des crédits budgétaires, les soviets demandent des crédits additionnels aux commissariats du peuple correspondants.

88. En cas d'insuffisance des moyens locaux pour satisfaire les besoins locaux, le Comité exécutif central panrusse des soviets et le Conseil des commissaires du peuple peuvent autoriser, pour couvrir les dépenses urgentes, des avances ou des prêts provenant des fonds du trésor public.

Titre VI.

Les armes et le drapeau de la RSFSR.

Chapitre XVII.

89. L'emblème de la RSFSR se compose d'une figure représentant une faucille et un marteau aux manches croisés, dirigés vers le bas, sur fond rouge baigné de rayons de soleil, encadrée d'une couronne d'épis portant l'inscription :

a. République socialiste fédérative soviétique de Russie,

b. Prolétaires de tous les pays, unissez-vous.

90. Les pavillons commercial, maritime et militaire de la République socialiste fédérative soviétique de Russie sont faits d'une étamine rouge portant à l'angle supérieur gauche, près e la hampe, en lettres dorées, l'inscription : RSFSR ou République socialiste fédérative soviétique de Russie.

Pour obtenir davantage d'informations sur le pays et sur le texte ci-dessus,

voir la fiche Russie.

©-2011 - Pour toute information complémentaire, pour signaler une erreur, pour correspondre avec nous,

adressez-nous un message électronique.

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Jean-Pierre Maury

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 18:07

Petition by Cesefire

Urge Harper – NO Canadian participation in America’s Missile Defence Boondoggle

http://www.ceasefire.ca/?p=19297

Letter to Harper, Trudeau and Mulcair - On Fascism of a new kind

Mr. Stephen Harper, Prime Minister of Canada and Leader of the Conservative Party;
Mr. Justin Trudeau, leader of the Liberal Party;
Mr. Thomas Mulcair, leader of the New Democrati
c Party,

I not only support the opposition by Ceasefire to the joining of Canada in the U.S. national ballistic missile defence program.

I also support the withdrawal of Canada from NATO, a military alliance of the United States / European Union Imperialist Block..

Today, Canada, which is part of the U.S.-European Union Imperialist Block, and with its NATO military alliance, is blatantly violating International Law :

- with wars of invasion, occupation and plunder in the interest of a group of financial oligarchies of this Imperialist Block, and supporting or putting in place fascist regimes;

- with, "regime changes" (coup d'État to install pro-Western dictatorships, massacres, genocides (Gaza by the Zionist State of Israel) or dismantlling of states and installation of pure chaos

The leaders of the three major parties in the Parliament of Canada are supporting:

(1) the fascists in Kiew, who took power with a violent coup d'état and is bombing the people of Ukraine;

(2) the Zionist State of Israel, which is commiting genocide in Palestine, particularly in Gaza;

(3) the djihadist movement who is attacking Syria and Irak.

NATO is similar to the Nazi-Fascist military alliance, led by Hitler, with the support of German financial oligarchy, invading Europe and Asia, seeking for the total hegemony of the world by German imperialism.

With the victory of the Soviet Union and the rest of the Allies, trials were organized by the USA, the Nuremberg Trials. They did not condemn the German oligarchy who supported Hitler. They condemned only a couple of military officers. These officers were hanged for: (1) crimes against peace; (2) War crimes; and (3) crimes against mankind (genocide). The German financial oligarchy joined with the European and U.S. financial oligarchies.

Today, the U.S.-European Union Imperialist Block and its Military Alliance are a machine aiming at the conquest of total hegemony (economic, political, social, military, ideological) over the world. They are trying to intimidate Russia and China. The criminal and senseless policies of Canada and the other members of the US/EU Imperialist Block may cause a Third World War.

Antonio Artuso - Communist Reconstruction Canada - pueblo@sympatico.ca - antonio.artuso.over-blog.com

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2 août 2014 6 02 /08 /août /2014 06:06

Le MER-uOttawa condamne la nouvelle agression d’Israël contre la Palestine‏

Bureau d'information politique

info@pcr-rcp.ca

Parti communiste révolutionnaire

Le MER-uOttawa condamne la nouvelle agression d’Israël contre la Palestine

1 août 2014

Le Mouvement étudiant révolutionnaire de l’Université d’Ottawa, en partenariat avec GRIPO – Ottawa, dénonce l’attaque incessante que mène l’État d’Israël contre les Palestiniennes et Palestiniens de la bande de Gaza. Cette agression a déjà fait des milliers de morts et de blessés, dont une grande majorité de civilEs (enfants, femmes, hommes et personnes âgées non combattantes).

Par cette déclaration, nous souhaitons exprimer notre solidarité au peuple palestinien qui lutte pour mettre fin à l’oppression coloniale et au nettoyage ethnique dont il est victime sur son propre territoire. Nous offrons nos condoléances et exprimons notre peine aux familles des victimes des actes atroces perpétrés par l’État d’Israël.

Depuis maintenant près de trois semaines, l’État israélien s’est engagé dans un massacre qui cible de manière indistincte l’ensemble des Palestiniennes et Palestiniens. Israël étant un allié historique de l’impérialisme occidental – et particulièrement de l’impérialisme étatsunien – les gouvernements des États-Unis, du Canada et d’Europe soutiennent chacun à leur façon et sans aucun remords les atrocités qu’il commet, par des moyens diplomatiques, militaires et financiers.

Pendant qu’Israël continue à massacrer les Palestiniennes et Palestiniens dans la bande de Gaza et à violer la loi internationale, la communauté internationale ne fout rien. Le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-Moon, exprime ainsi son impotence: «Le peuple de Gaza n’a pas d’option pour s’évader. Il est enfermé dans un territoire minuscule et encerclé. Chaque quartier est un quartier civil…» Pourtant, Il n’y a aucune action effective de la part de l’ONU.

Le gouvernement israélien a prétexté l’enlèvement et le meurtre de trois jeunes Israéliens en Cisjordanie occupée pour justifier son attaque meurtrière contre le peuple de Gaza; toutefois, les enquêteurs israéliens ayant travaillé sur la disparition et le meurtre des trois jeunes n’ont eux-mêmes établi aucune connexion avec le Hamas ou la bande de Gaza. La véritable raison de cette offensive est le refus d’Israël d’en arriver à un accord de paix avec les Palestiniennes et Palestiniens; son but est de briser la nouvelle unité politique entre le Hamas à Gaza et le Fatah en Cisjordanie occupée. Cela prouve une fois de plus que le seul intérêt de l’establishment israélien est de continuer à opprimer les Palestiniennes et Palestiniens.

Pendant ce temps, les médias bourgeois ne cessent de justifier les actes sanguinaires d’Israël en invoquant son prétendu «droit de se défendre»; malheureusement, ce droit n’est jamais de mise pour le peuple palestinien opprimé. Ce «droit» est utilisé par Israël comme justification pour le bombardement d’hôpitaux, d’écoles, de résidences et même des refuges de l’ONU dans la bande de Gaza, qui résultent dans la mort de civils à la recherche d’un abri. L’agression actuelle représente un chapitre de plus dans la mission de l’État d’Israël visant à renforcer l’apartheid et à procéder à un nettoyage ethnique complet contre le peuple palestinien. La classe dominante du Canada et des autres pays occidentaux, à travers ses médias, exprime clairement son soutien à ces ambitions sanglantes. Pour elle, une guerre contre les Palestiniennes et Palestiniens est simplement une opportunité de s’engraisser.

En appuyant Israël, les gouvernements occidentaux comme celui du Canada appuient l’une des forces les plus violentes et rétrogrades du Moyen-Orient. Les Palestiniennes et Palestiniens de la Cisjordanie occupée souffrent quotidiennement de rabaissement et de la violence, que ce soit aux postes de contrôle israéliens ou de manière plus générale, par la violation continue de leurs droits fondamentaux. Les travailleuses et travailleurs de Palestine se font exploiter par les bourgeois israéliens qui opèrent leurs usines dans les territoires occupés, ce qui leur permet de payer des salaires particulièrement bas et de ne leur reconnaître aucun droit. Non seulement l’appui à l’État d’Israël renforce l’oppression historique des Palestiniennes et Palestiniens, mais elle prive les habitants d’Israël de la paix, de la sécurité et de l’espoir d’un avenir meilleur.

Israël doit immédiatement cesser son attaque contre le peuple de la bande de Gaza, lever son blocus illégal, mettre fin à l’apartheid en Cisjordanie occupée et reconnaître le droit du peuple palestinien sur son territoire, dont il n’a eu de cesse d’être expulsé depuis 1948.

Arrêtez le massacre du peuple palestinien! Arrêtez l’occupation et l’oppression israéliennes!

RSM-uOttawa Condemns Israel's Renewed Assault on Palestine‏

Political Information Bureau

2014-08-01

info@pcr-rcp.ca

Revolutionary Communist Party

RSM-uOttawa Condemns Israel's Renewed Assault on Palestine

August 1st, 2014

University of Ottawa Revolutionary Student Movement in association with OPIRG denounces the unceasing attack on the people of Gaza perpetrated by the State of Israel that to this hour has resulted in more than a thousand Palestinians killed, thousands wounded, overwhelming majority of them civilians–children, women, the elderly and men not affiliated with any armed group.

As we write this statement, we want to reach out to the Palestinian people to express our solidarity with their struggle for freedom in their own homeland, liberation from colonial oppression and an end to ethnic cleansing. We express our condolences and deep sorrow to the families of victims of this horrifying bloodshed initiated and carried out by Israel.

For more than three weeks the State of Israel has indiscriminately massacred Palestinians in the Gaza Strip. Israel historically has been a force at the service of Western and particularly American imperialism, therefore U.S., Canadian and European governments shamelessly provide diplomatic, military and financial backing for these atrocities.

The international community too stands idly while Israel violates international law and continues the massacre of Palestinians in Gaza. UN Secretary General Ban Ki-moon can only express the institutional timid position: “The people of Gaza have nowhere to run. They are trapped and besieged on a speck of land. Every area is a civilian area…” he announces, but an international action led by the UN is nowhere to be found; the UN shines for its ineffectiveness and lack of real commitment.

The Israeli government has cynically used the kidnapping and killing of three Jewish teenagers in the occupied West Bank in order to launch a devastating attack on the people of Gaza, while no connection to Hamas or Gaza has been established by the Israeli Investigators. The actual reason behind the attack is the outrageous refusal of Israel to reach a peace agreement with the Palestinians. This attack is aimed at breaking the recently established unity government between Hamas in Gaza and Fatah in the occupied West Bank and it once again demonstrates that the current Israeli establishment is only interested in continuation of oppression of the Palestinian people.

In the mean time, the bourgeois media has been working hard to justify the genocidal acts of Israel by appealing to Israel’s “right to self-defense,” a right not equally granted to the historically oppressed Palestinian people. This “right,” however, is used by Israel as a justification for bombing hospitals, schools, residential buildings and even UN shelters in Gaza, killing innocent civilians who seek refuge from the carnage. This latest assault is just one more chapter in the mission of the Israeli state to enforce apartheid and complete ethnic cleansing on the Palestinian people. The ruling class in Canada and other Western countries, through its media, has expressed its support for these bloody ambitions. For them, the war on the Palestinians is just another good business opportunity.

By supporting Israel, the Canadian and other Western governments support one of the most backwards and violent elements in the Middle East. Palestinians in the occupied West Bank suffer daily humiliation of military checkpoints on every road, Israeli violation of basic human rights and unaccountable violence. Palestinian workers are exploited by the Israeli bourgeoisie that operates industrial plants on the occupied land, paying the Palestinians extremely low wages and not providing any rights to them. Not only is support given to the State of Israel perpetuating the decades-long brutal oppression of Palestinians, it also deprives most of ordinary people in Israel of peace, security and hope in the better future.

Israel must immediately cease its attacks on the people in Gaza, lift the illegal blockade, stop the apartheid in the occupied West Bank and recognize the right of the Palestinian people for their homeland, from which they are being relentlessly expelled by Israel since 1948.

Stop the massacre of the Palestinian people! Stop the Israeli occupation and oppression!

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2 août 2014 6 02 /08 /août /2014 00:51

RECONSTRUCTION COMMUNISTE DU CANADA LANCE LES APPELS SUIVANTS À TOUTES LES ORGANISATIONS ET À TOUTES LES PERSONNES POUR CONSTRUIRE UN FRONT UNI CONTRE LE FASCISME DE TYPE NOUVEAU ET LA GUERRE :

(1) dénonce la collaboration des parlementaires fascistes de type nouveau du Canada (Harper, Trudeau et Mulcair) avec les crimes d'Israël et des puissances du bloc impérialistes États-Unis / Union européenne;

(2) appuie toutes les formes de résistance, pacifique et armée, de légitime défense anti-impérialiste des peuples;

(3) lance un appel à contribuer à la construction d'un front uni contre le fascisme de type nouveau et la guerre

Antonio Artuso - Reconstruction communiste international

1er août 2014 - Ce texte est basé sur celui du 29 juillet 2014

_________________________________________________________________________

-1-APPEL À DÉNONCER L'ENVOI DE PARLEMENTAIRES CANADIENS EN MISSION DE SOLIDARITÉ À ISRAEL ALORS QUE L'ONU DÉNONCE LE GÉNOCIDE COMMIS PAR ISRAEL À GAZA :

-a- l'envoi, par le premier ministre fasciste de type nouveau du Canada, Stephen Harper, de 6 parlementaires canadiens en mission de solidarité avec Israël, annoncée le 28 juillet 2014, au moment où la Commission des droits de la personne de l'ONU vient d'accuser Israël de commettre des crimes de guerre en Palestine.

-b- les 3 principaux partis du Parlement canadien d'appuyer toutes les positions fascistes de type nouveau et les guerres pour servir les intérêts de l'oligarchie financière canadienne et des oligarchies financières des pays du Bloc impérialiste États-Unis / Union européenne.

_____________________________________________

-2-APPEL À DÉNONCER LES OLIGARCHIES FINANCIÈRES DES DIFFÉRENTES PUISSANCES COMME ÉTANT LES PRINCIPAUX FAUTEURS DE FASCISME DE TYPE NOUVEAU ET DE GUERRE - LES CAPITALISTES SONT LES RESPONSABLES DE TOUS LES CRIMES CONTRE LA CLASSE OUVRIÈRE ET LES PEUPLES DU MONDE :

(a) exploitation des travailleurs par les entreprises capitalistes;

(b) oppression économique, politique et sociale des peuples par les États capitalistes;

(c) pillage des richesses naturelles de pays par les monopoles capitalistes;

(d) crises financières causés par les politiques des oligarchies financières;

(e) montée du fascisme de type nouveau dans tous les pays du bloc impérialiste États-Unis / Union européenne;

(f) guerres impérialistes locales et préparatifs de guerres des puissances impérialistes, particulièrement par le bloc impérialiste États-Unis / Union européenne et par l'alliance militaire fasciste de type nouveau de ce bloc, l'OTAN. Ce bloc impérialiste est les plus dangeureux, agressif, destructeur et fasciste et menace la Russie et la Chine, qui se rapprochent de plus en plus (1) militairement; et (2) economiquement depuis le coup d'État et la guerre du gouvernement putchiste de Kiev contre la population civile d'Ukraine;

_____________________________________________

-3-APPEL À APPUYER TOUTES LES FORMES DE RÉSISTANCE, PACIFIQUES ET ARMÉES, TOUS LES MOUVEMENTS DE RÉSISTANCE EN LÉGITIME DÉFENSE ANTI-IMPÉRIALISTE DES PEUPLES ET DES GOUVERNEMENTS MENACÉS PAR LES PUISSANCES IMPÉRIALISTES ACTIVEMENT ENGAGÉES DANS LES GUERRES D'AGRESSION, D'OCCUPATIONS ET DE DOMINATION

_______________________________________

-4- APPEL AUX COMMUNISTES AUTHENTIQUES À MENER 2 TÂCHES :

-a- au sein du mouvement communiste de chaque pays et du mouvement communiste international reconstruire (1) un et un seul parti communiste authentique dans chaque pays; et (2) un et un seul mouvement communiste international. Cette reconstruction communiste doit être basé sur trois principes essentiels parmi tous les principes indissociales du marxisme-léninisme : (1) voie révolutionnaire; (2) dictature du prolétariat; (3) confiscation des moyens de production et construction de l'économie socialiste;

-b- construire un front uni mondial contre le fascisme de type nouveau et la guerre, basé sur la tactique du front uni adoptée au 7ème Congrès de l'Internationale communiste (Rapport par George Dimitrov) (1935) - Appuyer l'unité du mouvement communiste avec les mouvements de résistance progressistes, les organisations de défense de la personne, les personnes conscientes de la situation mondiale de montée du fascisme et de la guerre.

___________________________________________________

-5-DÉNONCIATION DES 3 CHEFS DE PARTIS POLITIQUES DU CANADA QUI ENCOURAGENT LE GÉNOCIDE DU PEUPLE PALESTINIEN PAR L'ÉTAT SIONISTE D'ISRAEL - NOUS DEMANDONS LA TENUE DE TRIBUNAUX INTERNATIONAUX ET D'OPINION POUR JUGER DES CRIMES D'ISRAEL ET LA COLLABORATION DES POLITICIENS CANADIENS :

Nous dénonçons les déclarations en faveur du génocide du peuple palestinien par l'État sioniste d'Israël : nous demandons la tenue, par les tribunaux internationaux institutionnels et par des tribunaux d'opinion, de procès contre :

(1) Stephen Harper, chef du Parti conservateur;

(2) Justin Trudeau, chef du Parti libéral;

(3) Thomas Mulcair, chef du Nouveau Parti démocratique

pour leur encouragement et leur participation au renforcement économique, politique et militaire de l'État sioniste d'Israël en appuyant cet État alors qu'il est mondialement reconnu coupable, en Palestine :

(1) de crimes contre la paix;

(2) de crimes de guerre;

(3) de crimes contre l'humanité.

___________________________

-6-DÉNONCIATION DE L'APPUI DU PREMIER MINISTRE DU CANADA AUX FASCISTES DE KIEV ET À LA GUERRE CONTRE LE PEUPLE UKRAINIEN :

En Ukraine, Monsieur Harper, premier ministre fasciste de type nouveau du Canada, s'est précipité à Kiev pour appuyer le gouvernement nazi qui a renversé le gouvernement constitutionnel d'Ukraine et est en train de bombarder les populations russophones, qui voulaient se séparer de l'Ukraine fasciste.

________________________

-7-DENONCIATION DES OBJECTIF DE L'OLIGARCHIE FINANCIÈRE DU CANADA ET DES AUTRES PAYS DU BLOC IMPÉRIALISTE ÉTATS-UNIS / UNION EUROPÉENNE :

Nous dénonçons l'oligarchie financière des pays du bloc impérialiste États-Unis / Union européenne et les gouvernements d'être en train d'installer à travers le monde des régimes fascistes de type nouveau et d'essayer de démanteler la Russie et la Chine au risque de provoquer une nouvelle guerre mondiale interposée ou directe.

Nous lançons un appel :

- à appuyer les différentes formes de résistance individuelle et collective des peuples contre les oligarchies financières, qui dirigent leurs États, leurs partis politiques, leurs médias de masse afin d'imposer leur hégémonie et leur dictature mondiale.

- à contribuer d'urgence à la création d'un front uni contre le fascisme de type nouveau et la guerre.

______________________________

Antonio Artuso - Reconstruction communiste Canada

Blog : antonio.artuso.over-blog.com - Courriel : pueblo@sympatico.ca

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2 août 2014 6 02 /08 /août /2014 00:43

Gaza - Declaración de académicos de Derecho Internacional y Penal, defensores de derechos humanos, juristas, etc. - La comunidad internacional debe poner fin al castigo colectivo de Israel contra la población civil en la Franja de Gaza - El Espectador, Bogotá, 1o de agosto de 2014

Como académicos de Derecho Internacional y Penal, defensores de derechos humanos, juristas y personas que creen firmemente en el imperio de la ley y en la necesidad de su respeto en tiempos de paz, y aún más, en tiempos de guerra, sentimos el deber intelectual y moral de denunciar las violaciones graves, la mistificación y falta de respeto por los principios más básicos del Derecho relativo a los conflictos armados y a los derechos humanos fundamentales de toda la población palestina cometidos durante la ofensiva israelí en curso sobre la Franja de Gaza. Condenamos también el lanzamiento de cohetes desde la Franja de Gaza, como todos los ataques indiscriminados contra población civil, con independencia de la identidad de los autores, que no sólo es ilegal según el Derecho Internacional, sino también moralmente intolerable. Sin embargo, como también implícitamente señala el Consejo de Derechos Humanos de la ONU en su Resolución del 23 de julio 2014, las dos partes en conflicto no pueden ser considerados iguales, y sus acciones —una vez más— parecen ser de una magnitud incomparable.

Una vez más es la población civil desarmada, las «personas protegidas» en virtud del Derecho Internacional Humanitario (DIH), las que se encuentran en el centro de la tormenta. La población civil de Gaza ha sido victima de la falsa interpretación del derecho a la legítima defensa, en medio de una escalada de violencia provocada delante de toda la comunidad internacional. La llamada operación Margen Protector empezó durante un conflicto armado en curso, en el contexto de una larga ocupación beligerante que comenzó en 1967. En el curso de este conflicto continuado, miles de palestinos han sido asesinados y heridos en la Franja de Gaza desde el año 2005, durante los recurrentes y aparentes períodos de “alto el fuego”, y después de la “desconexión” unilateral de Israel de la Franja de Gaza. Las muertes causadas por los actos de provocación de Israel en la Franja de Gaza y anteriores a la última escalada de las hostilidades, no deben ser tampoco ignorados.

Según fuentes de la ONU, en las dos últimas semanas, casi 800 palestinos han sido asesinados en Gaza y más de 4.000 heridos, de los cuales la gran mayoría eran civiles. Varias fuentes independientes indican que sólo el 15 por ciento de las víctimas eran combatientes. Familias enteras han sido asesinadas. Hospitales, clínicas, así como un centro de rehabilitación para personas con discapacidad, han sido blanco de los ataques y severamente dañados. En un solo día, el domingo 20 de julio, más de 100 civiles palestinos fueron asesinados en Shija‘iyeh, un barrio residencial de la ciudad de Gaza. Siendo esta una de las operaciones más sangrientas y más agresivas jamás llevadas a cabo por Israel en la Franja de Gaza, una forma de violencia urbana que constituye una falta de respeto total a la inocencia civil. Lamentablemente, a esta le siguió, sólo un par de días más tarde, un ataque igualmente destructor sobre Khuza‘a, al este de Khan Younis.

Además, la ofensiva ha causado ya la destrucción generalizada de edificios e infraestructuras: según la Oficina de las Naciones Unidas para la Coordinación de Asuntos Humanitarios, más de 3.300 casas han sido objetivo de los ataques resultando en su destrucción o gravemente dañadas.

Como denuncia la Misión de Investigación de las Naciones Unidas (MINU) sobre el conflicto en Gaza, resultado de la operación israelí “Plomo Fundido” en 2008-2009: “Mientras el Gobierno israelí ha tratado de presentar sus operaciones esencialmente como una respuesta a los ataques con cohetes en el ejercicio de su derecho a la defensa propia, la Misión considera que el plan se ha dirigido, al menos en parte, a un objetivo diferente: el pueblo de Gaza en su conjunto”. (A/HRC/12/48, párrafo 1883). Lo mismo puede decirse de la ofensiva israelí en curso.

A la población civil de la Franja de Gaza la están atacando directamente y muchos han sido forzados a abandonar sus hogares. Lo que ya era una crisis de refugiados y humanitaria, se ha agravado con una nueva ola de desplazamientos masivos de la población civil: el número de desplazados internos llega casi a los 150.000, muchos de los cuales han obtenido refugio en escuelas ya rebasadas de la UNRWA, que por desgracia tampoco son zonas seguras como lo han demostrado los reiterados ataques contra la escuela de la UNRWA en Beit Hanoun. Todo el mundo en Gaza está traumatizado y viven en un estado de terror constante. Este resultado es intencionado, ya que Israel se apoya de nuevo en la “doctrina Dahiya”, que recurre deliberadamente al uso desproporcionado de la fuerza para infligir sufrimiento a la población civil con el fin de lograr objetivos políticos (ejercer presión sobre el Gobierno de Hamas) en lugar de objetivos militares.

Haciendo esto, Israel viola repetida y flagrantemente el Derecho de los conflictos armados, que establece que los combatientes y los objetivos militares pueden ser atacados, es decir, “aquellos objetos que por su naturaleza, ubicación, finalidad o uso contribuyan eficazmente a la acción militar y cuya destrucción total o parcial, captura o neutralización ofrezca, en las circunstancias del momento, una ventaja militar definida”. La mayoría de los intensos bombardeos infligidos recientemente sobre Gaza carecen de una justificación militar aceptable. Por el contrario, parecen estar diseñados para aterrorizar a la población civil. Como aclara el Comité Internacional de la Cruz Roja, provocar deliberadamente el terror es, sin lugar a dudas, ilegal según el Derecho internacional consuetudinario.

La opinión consultiva de la Corte Internacional de Justicia, relativa a las armas nucleares, declara que el principio de distinción, que obliga a los estados beligerantes a distinguir entre civiles y combatientes, es uno de los “principios cardinales” del Derecho Internacional Humanitario y uno de los “principios de Derecho consuetudinario internacional inviolables”.

El principio de distinción está codificado en los artículos 48, 51 (2) y 52 (2) delProtocolo Adicional I de 1977 a los Convenios de Ginebra de 1949, al que no se ha hecho ninguna excepción. De acuerdo con el Protocolo Adicional I, “ataques” hace referencia a los “actos violentos contra el adversario, sean ofensivos o defensivos” (artículo 49). De acuerdo con el Derecho Internacional consuetudinario y el Derecho sobre Tratados internacionales, la prohibición de dirigir ataques contra la población civil o bienes civiles, es absoluta. No hay discrecionalidad susceptible de invocar como justificación una necesidad militar.

Contrariamente a las reivindicaciones que Israel hace, los errores que resulten en muertes de civiles no pueden justificarse: en caso de duda acerca de la naturaleza del objetivo, la ley establece claramente que un bien que normalmente se dedica a fines civiles (como escuelas, viviendas, lugares de culto e instalaciones médicas), presuntamente no se utilizan con fines militares. Durante estas últimas semanas, funcionarios y representantes de la ONU han pedido de manera reiterada a Israel que acate el cumplimiento estricto del principio de precaución en la realización de los ataques en la Franja de Gaza, donde los riesgos se agravan en gran medida por la altísima densidad de población, y que la máxima contención debe ser ejercida para evitar víctimas civiles. Human Rights Watch (HRW) señala que estas normas existen para minimizar errores, “cuando tales errores se repiten, eleva la preocupación sobre si dichas reglas se están violando”.

Es más, incluso cuando los objetivos militares son claros, Israel viola sistemáticamente el principio de proporcionalidad: esto es particularmente evidente en lo que respecta a los cientos de casas de civiles destruidas por el ejército israelí durante la operación militar en curso sobre Gaza. Con la intención declarada de atacar a un solo miembro de Hamás, las fuerzas israelíes han bombardeado y destruido casas ocupadas para uso residencial, por docenas de civiles, incluidas mujeres, niños y familias enteras.

Es inherentemente ilegal según el Derecho internacional consuetudinario, atacar de manera intencionada bienes de carácter civil. La violación de un principio de Derecho tan fundamental puede constituir un crimen de guerra. Emitir una ‘advertencia’ —tal como Israel indica en relación a la llamada técnica de golpe en el techo o enviar un mensaje de texto cinco minutos antes del ataque— no exime de dicha violación: sigue siendo ilegal atacar intencionadamente una vivienda civil sin demostrar la necesidad militar, ya que significa la violación del principio de proporcionalidad. Además, estas “advertencias” generalmente no sólo son ineficaces, sino que incluso pueden dar lugar a más fatalidades, y parecen ser una excusa prefabricada de Israel para mostrar a las personas que permanecen en sus hogares como “escudos humanos”.

Los ataques indiscriminados y desproporcionados, los blancos de los objetivos que no proporcionan ninguna ventaja militar efectiva, y el ataque intencionado sobre civiles y viviendas de civiles, son rasgos persistentes de la política que Israel utiliza desde hace mucho tiempo, de castigar a toda la población de la Franja de Gaza, y la que desde hace más de siete años, es en la práctica prisionera del cierre impuesto por Israel. Este régimen equivale a una forma de castigo colectivo que vulnera la prohibición incondicional establecida en el artículo 33 del IV Convenio de Ginebra y que ha sido condenado internacionalmente por su ilegalidad. Sin embargo, a pesar de la oposición efectiva de los actores internacionales, la política ilegal de cierre absoluto que Israel impone sobre la Franja de Gaza, ha continuado sin descanso, bajo la mirada cómplice de la comunidad internacional de los Estados.

***

Como afirmaba en el año 2009 la Misión de Investigación de la ONU sobre el Conflicto en Gaza: “La justicia y el respeto del estado de derecho son el fundamento indispensable para la paz. La prolongada situación de impunidad ha creado una crisis de justicia en el territorio palestino ocupado que justifica la la adopción de medidas” (A/HRC/12/48, párrafo 1958). En efecto: “la impunidad de larga data ha sido un factor esencial en la perpetuación de la violencia en la región y en la repetición de violaciones, así como en el deterioro de la confianza entre los palestinos y muchos israelíes en cuanto a las perspectivas de justicia y solución pacífica al conflicto” (A/HRC/12/48,. Párrafo 1964).

Por lo tanto,

· Damos la bienvenida a la Resolución adoptada el 23 de julio 2014 en el Consejo de Derechos Humanos de la ONU, en la que se estableció una comisión internacional independiente para investigar todas las violaciones del derecho internacional humanitario y del derecho internacional de los derechos humanos en el territorio palestino ocupado.

· Hacemos un llamamiento a las Naciones Unidas, a la Liga Árabe, a la Unión Europea, y a los demás Estados, en particular los Estados Unidos de América, y a la comunidad internacional en su totalidad y con su poder colectivo, para actuar en virtud de la máxima urgencia y poner fin a la escalada de violencia contra la población civil de la Franja de Gaza, y para activar los procedimientos para la rendición de cuentas de los responsables de las violaciones de Derecho internacional, incluidos los líderes políticos y comandantes militares. En particular:

-Todos los actores regionales e internacionales deben apoyar la conclusión inmediata de un acuerdo de alto el fuego duradero, integral y de mutuo acuerdo, que debe asegurar el rápido acceso de la ayuda humanitaria y la apertura de las fronteras de entrada y salida a Gaza.

-Todas las Altas Partes Contratantes de los Convenios de Ginebra deben ser llamadas urgente e incondicionalmente a que cumplan con sus obligaciones fundamentales, vinculantes en todo momento, para actuar de acuerdo con el Artículo 1 común a todas ellas, y a tomar todas las medidas necesarias para la eliminación de las infracciones graves, claramente definidas por el artículo 146 y el artículo 147 del IV Convenio de Ginebra; reglas que son aplicables también por todas las partes interesadas;

· Además, denunciamos las vergonzosas presiones políticas ejercidas por varios Estados miembros de la ONU y la ONU en sí misma sobre el presidente Mahmoud Abbas, para disuadirle de recurrir a la Corte Penal Internacional (CPI), e instamos a los líderes gubernamentales de Palestina a apelar a la jurisdicción de la CPI, mediante la ratificación del Tratado de la CPI y en el interim, al someterse a la declaración prevista en el artículo 12 (3) del Estatuto de Roma, con el fin de investigar y enjuiciar los delitos internacionales graves cometidos en el territorio palestino por todas las partes en el conflicto; y

· El Consejo de Seguridad de la ONU, por último, debe ejercer sus responsabilidades en relación con la paz y la justicia remitiendo la situación en Palestina ante la Fiscalía de la CPI.

***

Nótese que la afiliación institucional tiene únicamente un fin de identificación:
1. John Dugard, Former UN Special Rapporteur on human rights situation in the Occupied Palestinian Territory
2. Richard Falk, Former UN Special Rapporteur on human rights situation in the Occupied Palestinian Territory
3. Alain Pellet, Professor of Public International Law, University Paris Ouest, former Member of the United Nations International Law Commission, France
4. Georges Abi-Saab, Emeritus Professor of International Law, Graduate Institute of International and Development Studies, Geneva, Former Judge on the ICTY
5. Vera Gowlland-Debbas, Emeritus Professor of International Law, Graduate Institute of International and Development Studies, Geneva, Switzerland
6. Chantal Meloni, Adjunct Professor of International Criminal Law, University of Milan, Italy (Rapporteur, Joint Declaration)
7. Roy Abbott, Consultant in International Humanitarian Law and International Human Rights Law, Australia
8. Lama Abu-Odeh, Law Professor, Georgetown University Law Center, USA
9. Susan M. Akram, Clinical Professor and supervising attorney, International Human rights Program, Boston University School of Law, USA
10. Taris Ahmad, Solicitor at Jones Day, London, UK
11. Maria Anagnostaki, PhD candidate, Law School University of Athens, Greece
12. Antony Anghie, Professor of Law, University of Utah, USA
13. Nizar Ayoub, Director, Al-Marsad, Arab Human Rights Centre in Golan Heights
14. Valentina Azarov, Lecturer in Human Rights and International Law, Al Quds Bard College, Palestine
15. Ammar Bajboj, Lecturer in Law, University of Damascus, Syria
16. Samia Bano, SOAS School of Law, London, UK
17. Asli Ü Bali, Professor of Law, UCLA School of Law, USA
18. Jakub Michał Baranowski, Phd Candidate, Universita‘ degli Studi Roma Tre, Italy
19. Frank Barat, Russell Tribunal on Palestine
20. Emma Bell, Coordinator of the European Group for the Study of Deviance and Social Control, Université de Savoie, France

21. Barbara Giovanna Bello, Post-doc Fellow, University of Milan, Italy
22. Brenna Bhandar, Senior lecturer in Law, SOAS School of Law, London, UK
23. George Bisharat, Professor of Law, UC Hastings College of Law, USA
24. Barbara Blok, LLM Candidate, University of Essex, UK
25. John Braithwaite, Professor of Criminology, Australian National University, Australia
26. Michelle Burgis-Kasthala, lecturer in international law, University of Edinburgh, UK
27. Eddie Bruce-Jones, Lecturer in Law, University of London, Birkbeck College, UK
28. Sandy Camlann, LLM Candidate, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France
29. Grazia Careccia, Human Rights Advocate, London, UK
30. Baris Cayli, Impact Fellow, University of Stirling, UK
31. Antonio Cavaliere, Professor of Criminal Law, University Federico II, Naples, Italy
32. Kathleen Cavanaugh, Senior Lecturer, Irish Center for Human Rights, National University of Ireland, Galway, Ireland
33. Elizabeth Chadwick, Reader in International Law, Nottingham, UK
34. Donna R. Cline, Attorney at Law, USA
35. Karen Corteen, Senior Lecturer in Criminology, University of Chester, UK
36. Andrew Dahdal, Lecturer, Faculty of Business and Economics, Macquarie University, Sydney, Australia
37. Teresa Dagenhardt, Reader in Criminology, Queen‘s University Belfast, Northern Ireland
38. Luigi Daniele, PhD candidate in Law, Italy
39. Alessandro De Giorgi, Professor of Justice Studies, San Josè State University, USA
40. Paul de Waart, Professor Emeritus of International Law, VU University, Amsterdam, The Netherlands
41. Gabriele della Morte, Senior Lecturer in International Law, University Cattolica, Milan, Italy
42. Max du Plessis, Professor of Law, University of Kwazulu-Natal, and Barrister, South Africa and London, UK
43. Noura Erakat, Georgetown University, USA
44. Mohammad Fadel, Associate Professor of Law, University of Toronto Faculty of Law, Canada
45. Mireille Fanon-Mendés France, Independent Expert UNO, Frantz Fanon Foundation, France
46. Michelle Farrell, lecturer in law, School of Law and Social Justice, University of Liverpool, UK
47. Daniel Feierstein, Professor and President International Association of Genocide Scholars (IAGS), Argentina
48. Eleonor Fernández Muñoz, Costa Rica
49. Tenny Fernando, Attorney at Law, Sri Lanka
50. Amelia Festa, LLM Candidate, University of Naples Federico II, Italy
51. Katherine Franke, Professor of Law, Columbia Law School, USA
52. Jacques Gaillot, Bishop in partibus of Patenia
53. Katherine Gallagher, Vice President FIDH, senior attorney, Centre for Constitutional Rights (CCR), New York, USA
54. Avo Sevag Garabet, LLM, University of Groningen, the Netherlands
55. Jose Garcia Anon, Professor of Law, Human Rights Institute, University of Valencia, Valencia, Spain
56. Irene Gasparini, PhD candidate, Universitá Cattolica, Milan, Italy
57. Stratos Georgoulas, Assistant Professor, University of the Aegean, Greece
58. Haluk Gerger, Professor, Turkey
59. Hedda Giersten, Professor, Universitet I Oslo, Norway
60. Javier Giraldo, Director Banco de Datos CINEP, Colombia
61. Carmen G. Gonzales, Professor of Law, Seattle University School of Law, USA
62. Penny Green, Professor of Law and Criminology, Director of the State Crime Initiative, King‘s College London, UK
63. Katy Hayward, Senior Lecturer in Sociology, Queen‘s University Belfast, Northern Ireland
64. Andrew Henley, PhD candidate, Keele University, UK
65. Christiane Hessel, Paris, France
66. Paddy Hillyard, Professor Emeritus, Queen‘s University Belfast, Northern Ireland
67. Ata Hindi, Institute of Law, Birzeit University, Palestine
68. Francois Houtart, Professor, National Institute of Higher Studies, Quito, Ecuador
69. Deena R. Hurwitz, Professor, General Faculty, Director International Human Rights Law Clinic, University of Virginia School of Law, USA
70. Perfecto Andrés Ibánes, Magistrado Tribunal Supremo de Espagna, Spain
71. Franco Ippolito, President of the Permanent People‘s Tribunal, Italy
72. Ruth Jamieson, Honorary Lecturer, School of Law, Queen‘s University, Belfast, Northern Ireland
73. Helen Jarvis, former member Extraordinary Chambers in the Courts of Cambodia (ECCC), member of IAGS, Cambodia
74. Ioannis Kalpouzos, Lecturer in Law, City Law School, London, UK
75. Victor Kattan, post-doctoral fellow, Law Faculty, National University of Singapore
76. Michael Kearney, PhD, Lecturer in Law, University of Sussex, UK
77. Yousuf Syed Khan, USA
78. Tarik Kochi, Senior Lecturer in Law, School of Law, Politics and Sociology, University of Sussex, UK
79. Anna Koppel, MSt Candidate in International Human Rights Law, University of Oxford, UK
80. Karim Lahidji, President of the International Federation for Human Rights (FIDH) and lawyer
81. Giulia Lanza, PhD Candidate, Università degli Studi di Verona, Italy
82. Daniel Machover, solicitor, Hickman & Rose, London, UK
83. Tayyab Mahmud, Professor of Law, Director of the Centre for Global Justice, Seattle University School of Law, USA
84. Maria C. LaHood, Senior Staff Attorney, CCR, New York, USA
85. Louise Mallinder, Reader in Human Rights and International Law, University of Ulster, UK
86. Triestino Mariniello, Lecturer in International Criminal Law, Edge Hill University, UK
87. Mazen Masri, Lecturer in Law, The City Law School, City University, London, UK
88. Siobhan McAlister, School of Sociology, Queen‘s University Belfast, Northern Ireland
89. Liam McCann, Principal Lecturer in Criminology, University of Lincoln, UK
90. Jude McCulloch, Professor of Criminology, Monash University, Melbourne, Australia
91. Yvonne McDermott Rees, Lecturer in Law, University of Bangor, UK
92. Cahal McLaughlin, Professor, School of Creative Arts, Queen‘s University Belfast, Northern Ireland
93. Araks Melkonyan, LLM Candidate, University of Essex, UK
94. Antonio Menna, PhD Candidate, Second University of Naples, Caserta, Italy
95. Naomi Mezey, Professor of Law, Georgetown University Law Center, USA
96. Michele Miravalle, PhD candidate, University of Torino, Italy
97. Sergio Moccia, Professor of Criminal Law, University Federico II, Naples, Italy
98. Kerry Moore, Lecturer, Cardiff University
99. Giuseppe Mosconi, Professor of Sociology, University of Padova, Italy
100. Usha Natarajan, Assistant Professor, Department of Law & Centre for Migration and Refugee Studies, The American University in Cairo, Egypt
101. Miren Odriozola Gurrutxaga, PhD Candidate, University of the Basque Country, Donostia – San Sebastián, Spain
102. Georgios Papanicolaou, Reader in Criminology, Teesside University, UK
103. Marco Pertile, Senior Lecturer in International Law, Faculty of Law, University of Trento, Italy
104. Andreas Philippopoulos-Mihalopoulos, Professor of Law and Theory, LLM, The Westminster Law and Theory Centre, UK
105. Antoni Pigrau Solé, Universitat Rovira i Virgili de Tarragona, Spain
106. Joseph Powderly, Assistant Professor of Public International Law, Leiden University, The Netherlands
107. Tony Platt, Visiting Professor of Justice Studies, San Jose State University, USA
108. Scott Poynting, Professor in Criminology, University of Auckland, New Zeeland
109. Chris Powell, Professor of Criminology, University S.Maine, USA
110. Bill Quigley, Professor, Loyola University, New Orleans College of Law, USA
111. John Quigley, Professor of Law, Ohio State University
112. Zouhair Racheha, PhD Candidate, University Jean Moulin Lyon 3, France
113. Laura Raymond, International Human Rights Advocacy Program Manager, CCR, New York, USA
114. Véronique Rocheleau-Brosseau, LLM candidate, Laval University, Canada
115. David Rodríguez Goyes, Lecturer, Antonio Nariño and Santo Tomás Universities, Colombia
116. Alessandro Rosanò, PhD Candidate, Università degli Studi di Padova, Italy
117. Jamil Salem, Director Institute of Law, Birzeit University, Palestine
118. Mahmood Salimi, LLM Candidate, Moofid University, Iran
119. Nahed Samour, doctoral fellow, Humboldt University, Faculty of Law, Berlin, Germany
120. Iain GM Scobbie, Professor of Public International Law, University of Manchester, UK
121. David Scott, Senior Lecturer in Criminology, Liverpool John Moores University, UK
122. Phil Scraton, Professor of Criminology, Belfast, Ireland
123. Rachel Seoighe, PhD Candidate, Legal Consultant, King‘s College London, UK
124. Tanya Serisier, School of Sociology, Queen‘s University Belfast, Northern Ireland
125. Mohammad Shahabuddin, PdD, Visiting researcher, Graduate School of International Social Sciences, Yokohama National University, Japan
126. Dean Spade, Seattle University School of Law, USA
127. Per Stadig, lawyer, Sweden
128. Chantal Thomas, Professor of Law, Cornell University, USA
129. Kendall Thomas, Nash Professor of Law, Columbia University, USA
130. Gianni Tognoni, Lelio Basso Foundation, Rome, Italy
131. Steve Tombs, Professor of Criminology, The Open University, UK
132. Paul Troop, Barrister, Garden Court Chambers, UK
133. Valeria Verdolini, Reader in Sociology, University of Milan, Italy
134. Francesca Vianello, University of Padova, Italy
135. Aimilia Voulvouli, Assistant Professor of Sociology, Fatih University, Turkey
136. Namita Wahi, Fellow, Centre for Policy Research, Dharma Marg, Chanakyapuri, New Delhi, India
137. Sharon Weill, PhD, Science Po, Paris/ CERAH, Geneva, Switzerland
138. Peter Weiss, Vice President of Centre for Constitutional Rights (CCR), New York, USA
139. David Whyte, Reader in Sociology, University of Liverpool, UK
140. Jeanne M. Woods, Henry F. Bonura, Jr. Distinguished Professor of Law, Loyola University College of Law, New Orleans, USA
141. William Thomas Worster, Lecturer, International Law, The Hague University of Applied Sciences, The Netherlands
142. Maung Zarni, Judge, PPT on Sri Lanka and Visiting Fellow, London School of Economics and Political Science

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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 14:55

Hamas' Just Terms for a Ceasefire

The Marxist-Leninist Weekly [Communist Party of Canada (Marxist-Leninist)]

July 26, 2014 - No. 25

Hamas' Just Terms for a Ceasefire

Hamas, joined by the Palestinian Authority and backed by Palestinian public opinion insists that the conditions for a ceasefire with Israel are a full lifting of the blockade and the release of those recently detained in the West Bank.

In a letter sent to the United States, members of the Arab League as well as other governments involved in negotiations, Hamas and the Palestinian Authority outlined their conditions required for a ceasefire:

The conditions listed are:

- the opening of borders and freedom of movement for Gazan residents;

- the opening of the Rafah crossing in coordination with Egypt and the Palestinian Authority;

- the release of prisoners who were re-arrested after they were released in the Gilad Shalit prisoner exchange deal (during Israel's "Operation Brother's Keeper" in which Israel without evidence or any due process began arresting Palestinians following the kidnap and murder of three Israeli teenagers);

- the carrying out of the fourth prisoner release (which Israel refused to do);

- permitting Gazan fishermen to sail up to 12 nautical miles from shore; and

- enabling freedom of movement for Palestinians in currently restricted corridors, including agricultural areas along the Strip's border.

Hamas and the Palestinian Authority are also demanding an international committee be set up to guarantee to implementation of the agreement.

"We will not accept any initiative that does not lift the blockade on our people and that does not respect their sacrifices," Khaled Meshaal, Hamas' leader re-iterated to reporters at a news conference in Qatar on July 23. "The years of blockade have killed more of our people than have the wars," he added. Meshaal said he does not "wish for war" but reiterated that Hamas "will not yield" unless their conditions for a ceasefire are met.

Referring to the Israeli blockade in force since 2006, on July 21 former Palestinian Prime Minister and leader of the government in Gaza, Ismail Haniyeh said on television, "We cannot go backwards, to a slow death...The conditions of the Palestinian resistance constitute the minimum required for a truce. The resistance and the sons of our people who have made such sacrifices in this mad war cannot accept anything less."

The demand for an end to the blockade as a condition for any ceasefire has the broad support of the Palestinian people. Prominent Palestinian academics, public figures and activists who recently published an open letter in the online journal Electronic Intifada, wrote:

"We call for a ceasefire only when negotiated conditions result in freedom of movement of Palestinians in and out of the Gaza Strip." Gaza must be allowed "unlimited import and export" of goods and "unrestricted use of the Gaza seaport," the letter said.

"Each of these expectations is taken for granted by most countries, and it is time for the Palestinians of Gaza to be accorded the human rights they deserve," the letter added.

(Ha'aretz, Middle East Eye)

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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 12:48

# LUCMICHEL.NET/ VICTOIRE DE L’ARMEE DU DONBASS DANS LE ‘CHAUDRON’ DE SAUR-MOGILA. LES FORCES DE KIEV EN VOIE D’ANEANTISSEMENT

Luc MICHEL/ En Bref /

Avec Correspondance à Donetsk - Twitter de la DNR - PCN-SPO/ 2014 07 27 /

La bataille que les médias de l’OTAN ignorent !

Une bataille d'attrition pour Kiev ...

Le chaudron de Saur-Mogila, où les forces du Colonel Strelkov ont écrasé les forces de Kiev après avoir brisé leur ligne de Front. Le sinistre bataillon néonazi AZOV y a été décimé à 80%. Un couloir solide est sécurisé entre les Donetsk et la frontière russe. Les 25e, 72e and 79e Brigades de l'Armée ukrainienne sont encerclées dans la poche au nord. Leur choix : se rendre à la milice du Donbass, passer en Russie et s'y faire interner ou mourir pour Porochenko et Petya Benyu.

La junte de Kiev, entre deux insultes contre la Russie, entre deux bombardements à l’arme lourde contre le peuple russophone de l’est, a même osé demandé à Moscou et à lOSCE l’ouverture d’un « couloir humanitaire » pour sauver ses soudards !

La milice populaire du Donbass, elle, parle de la « désertion massive des soldats ukrainiens ».

« Les soldats ukrainiens qui combattent contre les miliciens dans l'Est du pays, sont en train de déserter en masse », rapporte le compte Twitter de ​​la République Populaire de Donetsk (DNR).

Des copies scannées de documents officiels ont été allégués comme preuves à cette affirmation. Le « groupe de hackers CyberBerkout », pro DNR, avait antérieurement publié sur son site Web des données affirmant que « des soldats ukrainiens refusaient de combattre et abandonnaient leurs positions dans l'Est du pays ». Les hackers affirmaient également qu’ils ont piraté la boîte e-mail d’un colonel de l’armée ukrainienne.

Luc MICHEL

http://www.lucmichel.net/2014/07/27/lucmichel-net-victoire-de-larmee-du-donbass-dans-le-chaudron-de-saur-mogila-les-forces-de-kiev-en-voie-daneantissement/

_____________________________

# sur la bataille de Saur-Mogila, lire :

* Luc MICHEL et Fabrice BEAUR, PCN-INFO / NOVOROSSIYA / CONTRE LES MEDIAMENSONGES, LA REALITE DU TERRAIN MILITAIRE. OU COMMENT L’ARMEE DU DONBASS RAPPELLE A KIEV QUE LES ARMEES POPULAIRES ONT TOJOURS VAINCU LES MERCENAIRES…

http://www.lucmichel.net/2014/07/17/pcn-info-novorossiya-contre-les-mediamensonges-la-realite-du-terrain-militaire-ou-comment-larmee-du-donbass-rappelle-a-kiev-que-les-armees-populaires-ont-tojours-vaincu-les-mercenaire/

* Luc MICHEL, LUCMICHEL.NET / BREAKING NEWS / OFFENSIVE DE L’ARMEE DU DONBASS A SAUR-MOGILA !

http://www.lucmichel.net/2014/07/13/lucmichel-net-breaking-news-offensive-de-larmee-du-donbass-a-saur-mogila/

_________________________

Luc MICHEL /

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