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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 15:26
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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 15:21

--------- Original Message ----------
From: Antonio Artuso <pueblo@sympatico.ca>
To: Caravane d'amitié <caravaneqc@hotmail.com>
Date: February 12, 2019 at 7:12 AM
Subject: Merci à Arnold August pour ce texte - Reconstruction communiste Canada / Pour un front uni contre le fascisme et la guerre - Re: Mondialisation/Arnold August. De Caracas. Maduro : « Aucun soldat yankee n’entrera au Venezuela »
 

Merci à Arnold August pour ce texte.

Le gouvernement canadien viole de plus en plus le droit international dans tous les domaines.  Le gouvernement Trudeau, laquais de l'impérialisme étasunien, s'engage dans la voie du fascisme et de la guerre.  Pour défendre leurs intérêts, les capitalistes-impérialistes canadiens sont prêts à tout, ils ont engagé leur État, le gouvernement Trudeau, dans des manoeuvres d'appui au fascisme et à la guerre.  L'oligarchie financière canadienne croit pouvoir intimider le peuple du Venezuela et n'hésite plus à riquer (1) une guerre civile au Venezuela, (2) une guerre entre pays d'Amérique latine (Brésil et Colombie) et (3) une nouvelle guerre mondiale directe entre les deux blocs impérialistes ou une guerre mondiale par puissances interposées, comme l'a été Guerre Froide.

En 1935, face à la montée du fascisme et de la guerre, l'Internationale communiste, à son 7e Congrès, a adopté la tactique du Front uni contre le fascisme et la guerre.  Au Canada, de 1936 à 1938, pendant la Guerre d'Espagne, 1 300 anti-fascistes et communiste canadiens se sont joints au Bataillon MacKenzie-Papineau des Brigades internationales pour combattre du côté des travailleurs et du peuple espagnol contre les troupes fascistes de Franco, les tanks italiens et l'aviation nazie.

Vive la solidarité internationale!  Vive l'internationalisme prolétarien!  Vive la Résistance contre le fascisme et la guerre!

Antonio Artuso - Reconstruction communiste Canada / Pour un front uni contre le fascisme et la guerre - antonio.artuso.over-blog.com - pueblo@sympatico.ca

---------- Original Message ----------
From: Caravane d'amitié <caravaneqc@hotmail.com>
Date: February 11, 2019 at 5:08 PM
 

 
de: Arnold August <>
 date: lun. 11 févr. 2019 à 14:10
 objet: Mondialisation/Arnold August. De Caracas. Maduro : « Aucun soldat yankee n’entrera au Venezuela »
 
 
 

Caracas

Maduro : « Aucun soldat yankee n’entrera au Venezuela » 

Par Arnold August

11 février 2019

 

Après avoir passé deux jours à Caracas les 3 et 4 février, entre autres pour une réunion semi-privée avec le président Maduro, voici mon impression générale. La situation à Caracas est à l’opposé de ce que décrivent les grands médias internationaux aux États-Unis, au Canada et dans d’autres pays occidentaux. C’est calme, personne ne souffre de la faim, il n’y a pas de violence. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de crise économique, mais elle est due en grande partie aux sanctions économiques paralysantes et aux pressions que les États-Unis ont imposées au Venezuela au cours des dernières années. Les sanctions et les menaces ont commencé sous Obama en mars 2015 et ont été poursuivies par Trump, le gouvernement libéral de Justin Trudeau et d’autres.

 

Allons au cœur du sujet. De nombreux articles sérieux ont déjà été publiés sur le site Mondialisation concernant, d’une part, l’élection légitime de Maduro au dernier scrutin de mai 2018 et, d’autre part, la violation du droit vénézuélien et du droit international, y compris par les Nations Unies, en « reconnaissant » leur homme à Caracas. De plus, le point désormais essentiel est le droit du Venezuela à sa souveraineté et celui de choisir sa propre voie sans ingérence étrangère, indépendamment de toute autre considération. Aussi, dans cette optique, la réalité incontournable – ignorée par les médias internationaux – est l’union civilo-militaire en tant qu’élément clé de la démocratie vénézuélienne. On méconnaît par ignorance ou par une pensée magique, tout comme ceux qui veulent faire abstraction de la révolution bolivarienne le savent très bien, que c’est précisément cette union qui bloque leur plan.

 

Même si ce n’était pas la première fois que j’entendais parler Maduro, sa conférence du 4 février, lors de cette réunion semi-privée avec des Vénézuéliens et des invités étrangers, a été l’argument décisif. Entre autres points, il a expliqué en détail comment lui-même et les autres dirigeants (que j’ai aussi brièvement rencontrés au cours de cette réunion) ont travaillé et travaillent encore aujourd’hui pour organiser et inspirer – et à leur tour s’inspirer de – toutes les divisions des forces armées partout au pays, des pilotes et de la marine jusqu’aux militaires en passant par la milice populaire. Il a fait remarquer que cette union civilo-militaire s’était organisée dans le pays sur plusieurs décennies.

 

 

Quelle est cette union civilo-militaire?

 

Chávez a déclaré avoir trouvé l’idée de l’alliance civilo‐militaire dans la pensée politique de l’intellectuel vénézuélien, chef de la guérilla, Fabricio Ojeda, qui écrivait dans son livre de 1966, La Guerra del pueblo (La Guerre du peuple) : « Les bases anti-féodales et anti-impérialistes de notre processus révolutionnaire suggèrent une forme d’alliance entre les Vénézuéliens qui peut tenir compte des différences fondamentales, des credos politiques, des conceptions philosophiques, des convictions religieuses, des statuts économiques ou professionnels ou de l’appartenance à un parti. La force et la puissance de l’ennemi commun appellent à une lutte unie pour le vaincre... Les forces les plus enclines à lutter pour la libération nationale sont les travailleurs, les paysans, la petite bourgeoisie, les étudiants, les intellectuels et les professionnels, ainsi que la majorité des fonctionnaires, des sous-officiers et des soldats de l’armée de l’air, de la marine et des forces terrestres... » Dans la vision d’Ojeda, partagée par Chávez, tous ces secteurs civils et militaires sont appelés à s’unir pour former une véritable alliance révolutionnaire nationale. (Ramonet, Ignacio, 2013)

 

Alors que Maduro déclarait dans son discours du 4 février que son gouvernement était prêt à participer à tous les efforts de médiation, il a également précisé que le Venezuela était prêt à défendre son territoire : « Aucun soldat yankee n’entrera au Venezuela. » En fait, seulement 24 heures (le 5 février) après sa déclaration « conciliatrice » sur la médiation, le fantoche des États-Unis à Caracas a déclaré que son pays aimerait mieux « une guerre civile » plutôt que des négociations, selon son propre aveu. Néanmoins, le lendemain, le 6 février, le gouvernement de Maduro publiait une déclaration indiquant qu’il travaillait toujours activement avec l’Uruguay, le Mexique et les 14 pays du bloc des Caraïbes en plus de la Bolivie, en vue d’une séance de médiation le 7 février.

 

La conférence internationale tenue en Uruguay le 7 février, dans le but de traiter de la situation au Venezuela, a réuni cinq pays d’Amérique latine et huit pays européens.

 

Alors que les dirigeants européens et latino-américains recherchent une « solution politique et pacifique » à la situation du Venezuela, la déclaration finale du Groupe de contact international n’a finalement pas été adoptée par tous les pays participant à la conférence internationale. La Bolivie, le Mexique et le CARICOM ont refusé de signer le traité d’accord européen soutenu par l’Union européenne (UE), lequel appelle à des élections au Venezuela « dès que possible ».

 

À mon avis, cela est parfaitement compréhensible, dans la mesure où la position de l’UE constitue un ultimatum pour un pays souverain qui avait DÉJÀ organisé des élections présidentielles. La tentative d’ingérence de l’UE coïncide avec celle du Groupe de Lima et du Canada.

 

Ces pays parlent tous hypocritement d’une « transition pacifique », mais ils poussent à la confrontation et à l’ingérence étrangère, y compris à l’option militaire, en imposant au Venezuela des conditions inacceptables.  

 

La menace d’une intervention militaire dirigée par les États-Unis est donc plus réelle que jamais. Le point de vue est le suivant : non à une intervention militaire au Venezuela et soutien sans réserve au droit du Venezuela de se défendre dans le pire des cas. Des sondages en Europe et dans d’autres pays montrent l’appui à cette position, tandis que les principaux syndicats canadiens ont publié et publient des déclarations rejetant la position du parti libéral de Justin Trudeau favorable à Trump, et des manifestations ont lieu aux États-Unis.

 

Le jour même de la déclaration de Maduro, le 4 février, le gouvernement de Justin Trudeau accueillait le soi-disant Groupe de Lima à Ottawa. Le communiqué officiel réaffirmait son soutien à la position de Trump sur le Venezuela, constituant ainsi une ingérence étrangère dans les affaires intérieures de ce pays avec le total appui de sa marionnette, le soi-disant président. La position du gouvernement de Justin Trudeau représente un changement majeur et historique (au sens très négatif du terme) de la politique étrangère canadienne, y compris au sein de son propre parti, le Parti libéral. Contrairement, par exemple, à l’ancien premier ministre du Parti libéral, Jean Chrétien, qui à l’occasion du 10e anniversaire de la guerre en Irak (mars 2013) avait déclaré dans une entrevue au sujet de la position du Canada de ne PAS soutenir la guerre américaine en Irak :  

 

 

[Chrétien] ne regrette pas d’avoir refusé la participation du Canada à la mission dirigée par les États‐Unis. C’était une décision très importante, à n’en pas douter. En fait, c’était la première fois que le Canada ne participait pas à une guerre impliquant les Britanniques et les Américains. (Une déclaration de Jean Chrétien à l’émission Power Play au réseau canadien d’information CTV.)

Selon lui, « cette décision a également contribué à affirmer l’indépendance du Canada sur la scène internationale. Malheureusement, beaucoup de gens pensaient parfois que nous formions le 51e État des États-Unis. Il était clair ce jour-là que ce n’était pas le cas. »

Chrétien a déclaré avoir refusé de s’engager dans une action militaire en Irak sans une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU. Il a ajouté que le Canada avait toujours suivi les Nations Unies et qu’il intervenait dans d’autres conflits lorsque cela lui était demandé.

Il avait également affirmé ne pas être convaincu que l’Irak disposait d’armes de destruction massive – la menace qui alimentait le soutien à une invasion du pays par les États-Unis – et cela s’est finalement avéré.

Chrétien a aussi parlé de sa visite au Venezuela la semaine dernière pour assister aux funérailles du président Hugo Chávez.

Il a dit y être allé parce qu’il connaissait personnellement Chávez et qu’il n’avait « jamais eu de problème » avec le dirigeant controversé, même s’il n’était pas d’accord avec lui « sur bien des points ». Il voulait également témoigner son respect au peuple du Venezuela.

« Il [Chávez] avait le soutien de la population et il était aimé des plus démunis de son pays. C’était une sorte de Robin des bois », selon Chrétien.

Le premier ministre Stephen Harper a irrité le gouvernement vénézuélien en disant espérer que le pays pourrait envisager un « avenir meilleur et plus radieux » après la mort de Chávez.

Chrétien a ajouté que les autorités vénézuéliennes étaient « très, très heureuses » de sa présence aux funérailles, parce qu’elles étaient « très mécontentes » des propos d’Harper. (CTV Nouvelles : « Dire NON à la guerre en Irak était une décision importante pour le Canada. » Jean Chrétien, 12 mars 2013)

 

 

Rappelons ce que tout le monde à Cuba et en Amérique latine sait : le père de Justin Trudeau, à titre de premier ministre du Parti libéral du Canada, s’est rendu à Cuba en juin 1976 et, prenant place aux côtés de Fidel Castro lors d’une rencontre publique, il lançait : « Longue vie au président Fidel Castro! » et il adoptait aussi d’autres positions indépendantes de celles des États-Unis.

 

Pour ces peuples du Sud (comme le constatent aujourd’hui les Canadiens), à l’égal de n’importe quelle autre famille, quel que soit le système, les relations et les caractéristiques familiales changent. En ce qui concerne les relations extérieures, Justin Trudeau ne ressemble aucunement à son père. La presse canadienne peut me citer ici : « Le père de Justin Trudeau se retournerait dans sa tombe s’il savait ce qu’a fait son propre fils. » Tout le monde au Canada déteste Trump pour l’ensemble de ses politiques, pourtant Justin Trudeau est aligné sur lui.

 

Le gouvernement Trudeau, tout en donnant des leçons de démocratie et de liberté de presse au Venezuela, comme il l’a fait le 4 février à Ottawa lors de la rencontre avec le Groupe de Lima (Affaires mondiales Canada, Déclaration du Groupe de Lima du 4 février 2019), a refusé l’accès à teleSUR et à d’autres médias lors de cette réunion du Groupe de Lima à Ottawa. De plus, son gouvernement parle de démocratie pour le Venezuela, mais il ne reconnaît pas la position de millions de travailleurs syndiqués au Canada, et d’autres contre la politique interventionniste pro-Trump au Venezuela et en faveur du droit du Venezuela à l’autodétermination et à la souveraineté.

 

Justin Trudeau se situe du mauvais côté de l’histoire. Avant qu’il ne soit trop tard, il devrait renoncer à sa politique et s’opposer plutôt à l’intervention des États-Unis qui, par leur nature même, autorisent le recours à l’option militaire avec toutes ses conséquences tragiques.

 

Les chaînes de télévision publiques et privées de langue française au Canada sont les pires, non seulement au Canada, mais également en Occident. Elles ont complètement abandonné la tradition relativement progressiste et ouverte d’esprit de la télévision d’État francophone telle que représentée par René Lévesque lorsqu’il était journaliste dans les années 1960, et plus récemment par les sections Nouvelles et Documentaires dirigées par Michel Cormier et d’autres, tel Jean-Michel Le Prince. C’est une honte pour le Québec et l’auditoire de la télévision francophone partout au Canada.

 

La journaliste colombienne et présidente de teleSUR, Patricia Villegas Marin, en réponse au courrier électronique d’Affaires mondiales Canada l’informant que son accréditation médias pour assister à la10e réunion ministérielle du Groupe de Lima à Ottawa avait été refusée, a déclaré dans un gazouilli:

 

Le gouvernement du Canada nous refuse l’accès à une réunion du soi-disant Groupe de Lima. Ceux qui parlent de liberté démontrent, dans chacune de leurs actions, combien ils ignorent sa signification. @telesurenglish et @teleSURtv n’abandonneront PAS leur mission d’information.

 

 

Quant à Trump, il devrait prendre très au sérieux la tradition révolutionnaire civilo-militaire de la révolution bolivarienne. Personne ne souhaite une confrontation, mais les États-Unis perdront, et Trump l’aura comme héritage. La loyauté de John Bolton et d’autres super-faucons en vaut-elle vraiment la peine?

 

Arnold August est un journaliste et conférencier canadien, auteur de Democracy in Cuba and the 1997–1998 Elections (1999), Cuba and Its Neighbours: Democracy in Motion (2013) et, récemment, Cuba–U.S. Relations: Obama and Beyond (2017). En tant que journaliste, il collabore à de nombreux sites Web en Amérique latine, en Europe et en Amérique du Nord, y compris le site Mondialisation. Suivez-le sur Twitter et Facebook et sur son site Web : www.arnoldaugust.com.

 

 

Source: Mondialisation.

https://www.mondialisation.ca/maduro-%e2%80%89aucun-soldat-yankee-nentrera-au-venezuela/5630953

 

 


 


 

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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 15:03
Elliott Abrams: The War Criminal Running US Policy in Venezuela

 

TRNN Daily | Monday February 11, 2019
 

 

The recently named US Special Envoy on Venezuela, Elliott Abrams, is back in the halls of power after a career of supporting dictators, violence and genocide around the world


Trump Withdrawing from Old Wars While Threatening Iran with New One

Find all of our Venezuela stories here, from the current crisis to the early days of The Real News Network


Support for Israel Divides Democrats, A Division Fomented by Republicans

Republican Senator Marco Rubio pushes a pro-Israel agenda, while new and younger Democrats question US support for the right-wing government in Israel, says Israeli-American journalist Mairav Zonszein


Mexico's Lopez Obrador's Position on Venezuela Marks Return to Foreign Policy Tradition

Mexico is making a large contribution towards the prevention of civil war in Venezuela, by returning to long-established foreign policy tradition of neutrality, which the previous president had completely abandoned, says John Ackerman

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12 février 2019 2 12 /02 /février /2019 14:01
MST repudia ataque da Record contra as Crianças Sem Terrinha

 

Comunicado nº 15/2019

 São Paulo, 11 de fevereiro de 2019

 

MST repudia ataque da Record contra as Crianças Sem Terrinha

O Movimento dos Trabalhadores Rurais Sem Terra vem a público denunciar e repudiar a distorção de informações veiculadas na noite deste domingo (10) no Programa Domingo Espetacular. A reportagem “A Polêmica dos Sem Terrinha” tem como único objetivo manipular a opinião pública e fortalecer o processo de criminalização de organizações populares, que lutam pela defesa de seus direitos.

Em um país, em que o número de analfabetos supera a marca de 11 milhões de pessoas e que 1 a cada 5 crianças está fora da escola, nos surpreende que um Encontro Nacional de Crianças Sem Terrinha, onde foi discutido temas como os direitos das crianças e a produção de alimentação saudável, seja classificado como doutrinário. 

Reafirmamos que o Encontro, realizado em parceria com a organização Aldeias Infantis SOS, uma das mais respeitadas entidades que trabalha com a infância no país, teve as autorizações dos órgãos responsáveis e respeitou todos os padrões de segurança exigidos pelo Estatuto da Criança e do Adolescente (ECA). Destacamos ainda, que todas as crianças tiveram autorização dos pais, conforme prevê a legislação, e além disso, todos os alvarás necessários foram emitidos pelos órgãos competentes, incluindo a Vara da Infância e Juventude.

A Rede Record, ao disseminar mentiras, não leva em consideração critérios mínimos de apuração e imparcialidade, faltando, entre outras questões, com a ética jornalística.

O Artigo 6º da Constituição Federal do Brasil prevê, dentre outras coisas, o direito à educação. Nesse sentido, o MST não só luta para que esse direito seja respeitado como também trabalha cotidianamente para que nos tornemos um país mais digno e, sobretudo, menos desigual. Temos uma longa trajetória de lutas pelo acesso à educação pública, gratuita e de qualidade em todos os níveis para as crianças, jovens e adultos.

Em toda a nossa história, foram conquistadas mais de 2 mil escolas públicas, reconhecidas pelo Ministério da Educação (MEC), nos acampamentos e assentamentos em todo o país, que atendem a crianças, adolescentes e adultos. Milhares de camponesas e camponeses, organizados pelo MST, tiveram acesso a alfabetização e se formaram no ensino fundamental, médio, cursos técnicos e em nível superior. Há filhos e filhas de famílias assentadas em mais de cem turmas de cursos formais e mais de 4 mil professores foram formados, a partir das lutas pela educação pública, considerada pelo Movimento enquanto um direito básico.

Enfatizamos, que enquanto movimento de luta pela terra, pela reforma agrária e pela transformação da sociedade, continuaremos defendendo os direitos e a cidadania plena para todas as pessoas, em especial aquelas que vivem no campo.
 
Por isso, nós não só lutamos como fomentamos a educação no país e, diante de tudo isso, exigimos não só imediato direito de resposta, como desafiamos a mesma emissora a se propor a um jornalismo sério e de qualidade que preze pelos fatos e não interesses políticos.

Movimento dos Trabalhadores Rurais Sem Terra – MST
11 de fevereiro de 2019, São Paulo - SP 

 

 

 

 

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4 février 2019 1 04 /02 /février /2019 02:19
Canada Denies teleSUR Press Credentials for Lima Group Meeting
Canada Denies teleSUR Press Credentials for Lima Group Meeting
 

The government issued a denial to teleSUR but did not provide any reasoning for not allowing media access to the Lima Group meeting.

The Canadian government denied media outlets, like teleSUR, whose mission it is to provide news from the Global South, from covering the latest self-styled Lima Group meeting that will take place in Ottawa, Canada’s capital.

The government did not provide any reasoning for the denial of Lima Group meeting access, but has recently been called out for limiting press freedom within the country based on the preferences of its government. Their message read, "Thank you for your interesting in the 10th ministerial meeting of Lima Group in Ottawa. This email is to let you know you have NOT been accredited as media."

 

In a recent Supreme Court case from November 2018, Canada’s Supreme Court ruled unanimously against a journalist for Vice Canada, Ben Makuch, over his reporting on Islamic State Group terror cell member Farah Shirdon, a Canadian citizen turned Islamist fighter. By court ruling, Makush was required to hand over all documents related to his story which “sets an extremely worrying precedent and is a blow to press freedom in Canada," according to Alexandra Ellerbeck, Committee to Protect Journalists’ (CPJ) North America program coordinator.

In other case from 2017, the Canadian police forces were accused of monitoring at least seven journalists, getting access to cellphone records, in a bid by Quebec provincial police to help them solve the case of an informant among their ranks.Canada’s denial of press credentials thus follows a pattern of attacks against any journalism that doesn’t fall completely in line with government directives.

The Canadian government has also proven to be a proxy enforcer for the United States, recently arresting a Chinese executive for Huawei based on an order by the U.S. government.

teleSUR is a news outlet that provides coverage on a historically underreported range of topics with a focus on the Global South.

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3 février 2019 7 03 /02 /février /2019 15:56
Le Canada : partie prenante du coup d’État au Venezuela
 
Bonjour,

le texte suivant a été envoyé pour publication à plusieurs médias écrits. Il sera également accessible très bientôt sur notre site Internet et notre page Facebook.
 

2 février 2019
 
Le Canada : partie prenante du coup d’État au Venezuela

À l’occasion de la réunion d’urgence du Groupe de Lima, tenue à Ottawa le 4 février, nous tenons à dénoncer le rôle que joue le Gouvernement du Canada dans ce qui n’est rien de moins qu’un coup d’État.

Un coup d’État en marche

Depuis mercredi le 23 janvier, les événements se sont précipités, comme chorégraphiés : (1) autoproclamation du président de l’Assemblée nationale, Juan Guaidó, en tant que président du Venezuela, instantanément reconnue par les États-Unis, le Canada et des pays d’Amérique latine proches des États-Unis; (2) menace de six pays d’Europe occidentale – France, Allemagne, Royaume-Uni, Pays-Bas, Espagne et Portugal –de reconnaître Guaidó à défaut d’élections déclenchées en huit jours; (3) pressions étasuniennes sommant les membres de l’Organisation des États américains de « choisir leur camp » et tentant, sans succès, de faire reconnaître Guaidó par le Conseil de sécurité de l’ONU; (4) désignation de nouveaux ambassadeurs par l’Assemblée nationale du Venezuela, une prérogative qui ne relève pas d’elle; (6) refus de la Banque d’Angleterre d’un retrait de réserves en or du Venezuela; (5) mise en place, par la Maison Blanche, de milliards de dollars de nouvelles sanctions visant la compagnie pétrolière PDVSA, suivie de l’intention professée de transférer à Juan Guaidó les avoirs bancaires et les actifs du Venezuela aux États-Unis.

Toute cette mécanique mise en place pour asphyxier le gouvernement Maduro était déjà en préparation. Dès la mi-décembre – donc bien avant qu’il ne soit élu président de l’Assemblée nationale – Juan Guaidó a visité Washington, le Brésil et la Colombie pour leur présenter son scénario de manifestations de masse le 10 janvier et d’autoproclamation le 23 janvier.

La menace d’une intervention militaire complète la panoplie des mesures déstabilisatrices. « Nous n’excluons aucune option » répètent Donald Trump et John Bolton, conseiller à la sécurité nationale. Dès le mois d’août 2017, Trump parlait d’« une possible option militaire, si nécessaire ». La même année, Mike Pompeo, alors directeur de la CIA, évoquait un rôle possible pour la Colombie à cet égard. Comme en écho, lors d’un point de presse le 29 janvier, John Bolton tient un carnet sur lequel on a pu lire « 5 000 troupes en Colombie ». La nomination comme envoyé spécial au Venezuela d’Elliott Abrams – connu pour son soutien aux assassinats de masse perpétrés par l’armée et les escadrons de la mort au Salvador et au Guatemala dans les années 1980s – fait craindre le pire.

Les enjeux : pétrole, néolibéralisme et hégémonie

Dans une entrevue à Fox News, John Bolton a clarifié un des enjeux cruciaux du Coup : « Cela fera une grande différence pour les États-Unis économiquement si les compagnies pétrolières étasuniennes pouvaient réellement investir et produire les capacités pétrolières au Venezuela ».

Mais, au-delà du pétrole, le coup de force actuel vise à rétablir l’hégémonie des États-Unis en Amérique latine. Depuis le début du 21e siècle, cette domination s’est atténuée par un virage à gauche de plusieurs pays, s’éloignant du néolibéralisme et adoptant des politiques sociales progressistes. Dans la même période, la montée en puissance de la Chine et de la Russie a accru leur présence sur le continent sud-américain. La mise en place d’un gouvernement de droite au Venezuela, favorable et redevable aux investissements étrangers, bénéficierait donc aux États-Unis et à leurs alliés.

Et le Canada là-dedans ?

Partie prenante du coup d’État actuel, le Canada a été l’un des tout premiers pays à reconnaître l’autoproclamation de Juan Guaidó. Depuis septembre 2017, il impose des sanctions économiques contre le Venezuela en étroite concertation avec les États-Unis. Malgré l’absence de ces derniers, le Groupe de Lima regroupe des pays qui prônent, face au Venezuela, la même ligne dure. Vraisemblablement, le Canada assure la liaison à cet égard. Faisant état des préparatifs du coup d’État, l’article d’AP News rapporte que le Canada a joué un rôle important dans les coulisses et que la ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, a offert le soutien du Canada à Guaidó dès le 9 janvier.

Sur le site d’Affaires mondiales Canada, on lit que la réunion d’urgence du 4 février « rassemblera les ministres des Affaires étrangères des pays du Groupe de Lima ainsi que des participants de l'ensemble de la communauté internationale. Ils se réuniront pour discuter de l'appui à Juan Guaidó, président par intérim du Venezuela, et pour explorer les moyens par lesquels la communauté internationale peut soutenir davantage le peuple du Venezuela. » Est-ce à dire que pour le Canada, la majorité des pays de l’OÉA et la plupart des pays du monde – qui ne reconnaissent pas l’autoproclamation de Guaidó – ne font pas partie de la communauté internationale?

Les manœuvres politiques, la répression et l’autoritarisme du gouvernement Maduro sont condamnables. Mais là n’est pas la question. Comme le rappelle avec urgence M. Idriss Jazairy, rapporteur spécial des Nations Unies sur l’impact négatif des mesures coercitives unilatérales sur la jouissance des droits humains: « La coercition, qu’elle soit militaire ou économique, ne doit jamais être utilisée pour obtenir un changement de gouvernement dans un État souverain. L’utilisation de sanctions par des puissances étrangères pour renverser un gouvernement élu viole toutes les normes du droit international ». Sans compter le bain de sang que risquerait de provoquer une intervention militaire étrangère ou des affrontements au sein d’une armée vénézuélienne fracturée.

Pour une sortie de crise négociée

La seule approche internationale responsable et légitime à la crise au Venezuela consiste à lever immédiatement les sanctions économiques étrangères et à favoriser la recherche d’une solution politique authentiquement vénézuélienne par la négociation, sous les auspices de médiateurs indépendants.

C’est dans cette voie que se sont engagés l'Uruguay et le Mexique, qui ont annoncé l'organisation d'une conférence des pays neutres à Montevideo le 7 février. Le Canada, lui, a choisi l’ingérence étrangère, dangereuse et condamnable.

Judith Berlyn
Martine Eloy
Mouloud Idir
Raymond Legault
Suzanne Loiselle

Membres du Collectif Échec à la guerre
 

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 15:13
Canada Must Oppose the Attempted Coup in Venezuela (from Courage)
Canada Must Oppose the Attempted Coup in Venezuela
January 28, 2019
 

On January 23rd, the Canadian government joined the United States and a handful of other nations in recognizing Juan Guaido as the President of Venezuela, following a weeks-long conflict over the legitimacy of sitting President Nicolas Maduro.

Courage strongly believes in the right of Venezuelans to resolve this crisis internally without the threat of foreign intervention. If the Venezuelan people do not believe the government of Nicolas Maduro is legitimate, we support their right to hold free and fair elections to determine their own future. The Trudeau government’s attempt to weigh in on this conflict by supporting a self-appointed president with no democratic legitimacy, before the Venezuelan people have been given the opportunity to make their own decision, continues a centuries-long tradition of Western imperialism and paternalism towards Latin American countries.

If the modern history of Latin America has taught us anything, it should be that US-led intervention in the affairs of Latin American countries is virtually always an excuse for the United States and other Western states to pursue their own imperial interests. From Chile to Honduras, Panama to Cuba, Guatemala to the Dominican Republic, the United States has a decades-long history of using their economic and military influence to install brutal dictatorships and corporatist client regimes across this part of the world, resulting in the disenfranchisement and immiseration of millions of working class Latin Americans.

The United States is attempting to orchestrate the current coup in Venezuela in a fashion that appears markedly similar to its prior transgressions. The Trump regime has been involved in plots to oust Nicolas Maduro for over a year, and has spent tens of millions of dollars supporting the right-wing opposition in Venezuela. This reality, in conjunction with the fact that Venezuela has the largest oil reserves of any country on Earth, makes it clear that this is yet another example of the United States prioritizing its own economic interests over the wellbeing of Latin American people.

Canada itself has a troubling pattern of supporting this approach of destabilizing governments at the whim of the United States and major corporate interests. Canada, under Trudeau, supported the illegal government that came to power in Brazil after a soft coup deposed and jailed Dilma Rousseff of the Workers’ Party in 2016. Under the Harper government, Canada funded destabilization efforts in Venezuela, immediately recognized a coup government that deposed Paraguay’s popular left-wing president Fernando Lugo in 2012, and provided praise and funding when the Honduran military kidnapped and deposed their democratically elected president Manuel Zelaya. In 2004, the Martin government sent troops to support the notorious coup against Haiti’s reformist centre-left president Jean Bertrand Aristide, and in 2002, the Chretien government expressed no objection to the first US-backed coup attempt in Venezuela against Hugo Chavez. The minority Harper government invited one of the leaders of the attempted coup to speak in Ottawa in 2006.

Whether it’s acting as a junior partner to America’s attempts to police its so-called “backyard”, or directly advancing the interests of Canadian companies’ resource extraction projects abroad, Canada’s habit of complicity in imperialist adventures must end. As an organization that believes all people, in all nations, are entitled to self-determination, Courage strongly condemns Justin Trudeau, Chrystia Freeland, and all of the members of the Canadian government who have espoused support for this illegal coup against the current Venezuelan government. We urge our government to allow Venezuelans to make their own decisions on these matters without the influence of foreign interests, and encourage Canada to establish a policy of non-intervention in the affairs of other nations going forward.

 

 

===

 

About Courage

Who We Are

Courage is a coalition of the independent left. We are building a pan-Canadian, membership-based organization that attempts to bridge the divide between movement and electoral politics. Specifically, we are founded on the belief that elections can be important and consequential, the left needs non-electoral organizations that are focused on pushing forward social and economic transformation – especially when left parties are in power.

Our organization is a space for learning, teaching and collaboration.

Our organization is a space for planning and engaging in collective political action.

We are committed to being inclusive and we are striving to foster a culture of respect and solidarity.

We are a movement, not a party.

We have members inside and outside of the NDP.

We are a work in progress that you can help shape and direct.

Our goals are:

  • Democratic economic control
  • An inclusive society
  • Working with our environment
  • International solidarity
  • Decolonization and self-determination
  • Inclusive and asymmetrical federalism

For more information on these goals, see our Basis of Unity.

For more information about our formation, see our Founding Members and Advisory Board.

What We Do

Courage was launched in early 2017.

In our earlier incarnation—Renewal—we played a role in the grassroots-led ouster of Tom Mulcair as leader of the NDP at the 2016 party convention in Edmonton, and tentative embrace of the Leap Manifesto.

We have developed statements on Internal Democracy in the NDP, Economic & Social Inequality, Indigenous Land Rights and sexual assault, harassment, and the culture of silence in the NDP. Our members organized a phone bank to support Gary Burrill and the Nova Scotia NDP during their provincial election campaign. During the NDP leadership race, we produced an Analysis of the Candidates’ Platforms.

Our members have been actively spreading the word about Courage and our goals, organizing in our local communities and planning future political interventions.

How We Function

People can learn more about Courage via our Facebook page.

Our internal discussions among Courage members take place online via Slack and Facebook and we have regular pan-Canadian meetings via phone and video conferencing.

Decision-making power resides with our membership. Decisions are made through membership votes either in our meetings or via online votes.

Our membership meetings require of a minimum of 40% of attendees to be women, trans or nonbinary to achieve quorum. Women, trans and nonbinary members have also caucused separately.

We do not have local structures yet, although we are working toward developing them as we grow.

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 14:57
Barragem que rompeu foi beneficiada por mudança na lei
Um resumo das notícias da Repórter Brasil
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30 de janeiro de 2018
 
Desastre em Brumadinho
Secretário de Meio Ambiente reduziu critérios de risco de barragens e acelerou licenciamento ambiental em Minas Gerais
 
 

A barragem da Vale que rompeu em Brumadinho foi uma das contempladas com a modificação da norma de licenciamento ambiental implementada pelo secretário do Meio Ambiente de Minas Gerais, Germano Vieira. Apesar de ter sido nomeado pelo ex-governador Fernando Pimentel (PT), Vieira foi o único secretário a se manter no cargo desde a posse de Romeu Zema (Novo). A manutenção foi celebrada por representantes da indústria pelo fato de Vieira ter dado mais agilidade ao processo de licenciamento ambiental. 

Leia a reportagem completa

 
Exploração
Iogurtes quase vencidos da Danone e Nestlé são vendidos com trabalho escravo

Murilo trabalhava 14 horas por dia vendendo iogurtes perto da validade e tinha descontos no salário, mesmo se faltasse porque estava doente. “Cheguei a vender mais de R$ 500 mil em um ano. E sabe o que eu ganhei? Um pacote de danone para o meu filho”, diz ele. Auditores-fiscais do trabalho corresponsabilizaram a Danone e a Nestlé por trabalho análogo ao de escravo.

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Governo libera registros de agrotóxicos altamente tóxicos

Quarenta novos produtos comerciais com agrotóxicos receberam permissão para chegar ao mercado nos próximos dias. Entre eles está o Sulfoxaflor, liberado nos últimos dias do ano passado, que já foi acusado de exterminar as abelhas nos EUA.

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Incra volta atrás e cancela suspensão da reforma agrária

Após a Repórter Brasil revelar documentos internos determinando a suspensão da Reforma Agrária, Incra muda de ideia e cancela os memorandos. Servidores avaliam que governo está perdido.

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Ruralistas rejeitados pelas urnas voltam ao poder em cargos do governo Bolsonaro

Deputados ruralistas derrotados nas urnas e com atuação desfavorável ao meio ambiente, mas estão entre os escolhidos para postos estratégicos. Valdir Colatto, que cuidará da preservação de florestas, acredita que  "o problema ambiental não é no campo, é na cidade".

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O que há por trás do assassinato de 2 líderes do MST na Paraíba? Assista ao vídeo acima e leia a reportagem completa
 
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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 14:48

 

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 09:23

Journal de bord - 20190130-jdb-blog rcc-de l'insurrection a la révolution-plusieurs exemples dans l'histoire – Les gilets jaunes, la situation aux États-Unis, etc.

Reconstruction communiste Canada

antonio.artuso.over-blog.com – pueblo@sympatico.ca - 20190130

Les communistes de mon époque se demandent comment pourrons-nous appliquer les trois principes marxistes-léninistes soulignés par Reconstruction communiste Canada : (1) prise du pouvoir par la voie révolutionnaire; (2) remplacement de la dictature de la bourgeoisie par la dictature du prolétariat, c’est-à-dire remplacement de la propriété privée des moyens de production par la propriété collective de ceux-ci; et (3) expropriation des moyens de production des mains des capitalistes-impérialistes et construction de la société socialiste, qui conduira à la société sans classe et sans État, le communisme.

L’histoire récente nous donne plusieurs exemples de passage de l’insurrection à la révolution :

-1-1917 - La Grande révolution d’Octobre, sous la direction de Lénine et du parti bolchevik, qui a instauré le premier État basé sur le socialisme scientifique (Marx et Engels, et Lénine et Staline), qui a duré de 1917 à 1956, date de la trahison par Khrouchtchev et du début de la restauration de capitalisme en URSS et du social-impérialisme (socialisme en parole mais impérialisme dans les faits);

-2-1945 - Les démocraties populaires (Albanie, Allemagne de l’Est, Bulgarie, Pologne, Tchécoslovaquie, Yougoslavie), libérées des occupants fascistes et nazis, écrasés par les Soviétiques et la Résistance surtout communiste dans chaque pays.  L’Albanie et de la Yougoslavie se distinguent des autres parce qu’elles se sont libérées sans l’aide militaire soviétique, par une guerre de Résistance des travailleurs, des nations et des peuples de ces deux pays;

-3-1949 - La Révolution chinoise entreprise par le Parti communiste, qui s’était intensifiée contre l’occupation japonaise par la création d’un front uni anti-japonais;

-4-1953 - La victoire de la Révolution communiste et la libération de la Corée du Nord;

-5-1960 - La Révolution cubaine, lutte de libération nationale de plusieurs classes contre l’impérialisme étasunien;

-6-1975 - La Révolution vietnamienne

Plusieurs autres insurrections ont conduit à des révolutions mais sans passage du capitalisme au socialisme.  Citons deux cas dans lesquels les travailleurs et le peuple ont expulsé la dictature pro-étasunienne :

-1975 - insurrection du peuple iranien, qui a conduit à la Révolution iranienne – Renversement du shah d’Iran Pavlavi, fantoche des États-Unis, qui a fui le pays;

-1985 et 1986 – insurrection du peuple haïtien contre la dictature de Jean-Claude Duvalier, appuyée par les États-Unis.  Le dictateur, surnommé «Baby Doc», a fui Haïti vers la France dans un avion des forces aériennes étasuniennes.

Comment aura lieu la Révolution socialiste de nos jours?

Depuis une douzaine de semaines, en France, le mouvement des gilets jaunes, se transforme peu à peu en une insurrection de tout le peuple français, qui pourrait devenir une Révolution.  Une condition essentielle pour cela sera la création du Parti communiste authentique (marxiste-léniniste) et d’un front uni des forces sociales et politiques progressistes, sous sa direction.

La grève générale perlée :

Le renversement de Macron et l’État-mafia français au service de la bourgeoisie nationale et de la bourgeoisie étasunienne a commencé :

Les derniers onze samedis de manifestations gigantesques des gilets jaunes à Paris et dans plusieurs ville de France ont débouché ;

(1) sur une conscience plus aigüe de l’ensemble des problèmes du système capitaliste-impérialiste, qui ne pourront que s’aggraver au cours des prochaines années (exploitation éhontée des travailleurs par les patrons, oppression des peuples par l’État capitaliste, pillage des ressources naturelles par les monopoles, crises économiques, écologiques, alimentaires, humanitaires, montée du fascisme dans tous les pays et guerre devenue perpétuelle.

(2) le gouvernement Macron, utilise la violence la plus brutale, qui a causé la mort de 12 personne, la mutilation (5 cas d’yeux crevés, au moins 5 cas de mains arrachées d’un, blessures graves de centaines de personnes et personnes dans le coma.

(3) Les débats de Macron sont un moyen pour le gouvernement de gagner du temps et d’épuiser le mouvement, ce qui est impossible car la misère et les souffrance augmentent avec l’évolution constante du capitalisme vers la concentration des capitaux;

(4) En plus des manifestations, les gilets jaunes pourraient utiliser la tactique de la grève générale perlée, touchant des secteurs précis de l’économie;

(5) Une rectification profonde du mouvement syndical, qui pour le moment suit la ligne de la collaboration de classe, sa transformation en syndicalisme de lutte de classe;

(6) L’unité (1) mouvement des gilets jaunes; (2) des partis et des mouvements politiques progressistes (L’Union populaire républicaine de François Asselineau, France insoumise de Jean-Luc Mélenchon, etc.) et (3) des syndicats

(7) La reconstruction du mouvement communiste en France;

(8) La création d’un front uni contre le fascisme et la guerre

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Présentation

  • : Le blog de Antonio Artuso - Reconstruction communiste Canada
  • : But : Reconstruction d'un et d'un seul parti communiste au Canada, dans chaque pays et d'un et d'un seul Mouvement communiste international. À l'étape actuelle, la formation théorique-idéologique sur la doctrine de Marx et d'Engels, et de Lénine et de Staline est essentielle - (1) élaboration d'un programme d'études: (2) formation de cercles d'études marxistes-léninistes
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